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L'agence américaine des médicaments a été chargée de passer en revue plusieurs cigarettes électroniques afin d'évaluer leur effet sur la santé publique.
27.08.2021, 05:1027.08.2021, 16:02
Les produits de vapotage de trois entreprises n'ont pas obtenu l'autorisation des autorités sanitaires d'être commercialisés aux Etats-Unis, a annoncé jeudi l'agence américaine des médicaments. Ils seront retirés du marché.
Les produits concernés sont ceux des groupes JD Nova Group LLC, Great American Vapes et Vapor Salon. Ils comprennent des cigarettes électroniques aux goûts «cola», «crumble aux pommes» ou encore «céréales à la cannelle».
«Nous savons que les produits au tabac aromatisés sont très attractifs pour les jeunes. Donc, évaluer leur impact potentiel ou actuel sur l'utilisation par les jeunes est un facteur essentiel pour décider quel produit peut être commercialisé»
La cheffe par intérim de la FDA, Janet Woodcock.
500 entreprises ont déposé une demande
S'ils sont déjà commercialisés, ces produits devront être retirés du marché, a informé l'agence américaine des médicaments (FDA). Cette dernière a été chargée de les passer en revue afin de s'assurer de leur bénéfice pour la santé publique.
- Ces produits n'ont pas réussi à démontrer que le bénéfice tiré par les adultes, notamment pour les aider à arrêter de fumer, était plus important que les risques posés pour les plus jeunes.
- Le leader du marché, Juul, n'est pas concerné par cette première décision. «Les demandes pour le reste des produits restent à l'étude», a précisé la FDA. Plus de 500 entreprises ont déposé une demande. La date limite pour le faire est le 9 septembre.
- Pour la FDA, les e-cigarettes peuvent au contraire représenter une porte d'entrée dans le tabagisme.
«L'agence est engagée à travailler à une transition vers un marché dans lequel tous les systèmes électroniques d'administration de nicotine (SEAN) disponibles à la vente ont démontré qu'ils sont convenables pour la protection de la santé publique», a assuré la FDA. (ats/jch)
La cheffe du groupe France insoumise à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, est convoquée à la police pour des déclarations faites le 7 octobre, jour du massacre du Hamas. Les convocations au commissariat s'enchaînent pour les membres et sympathisants LFI. Engagé dans une procédure visant Rima Hassan, l'avocat Gilles-William Goldnadel livre ses «pronostics».
C’est un communiqué qui avait fait polémique, le mot est faible. Le 7 octobre à Paris, bien loin du massacre perpétré le matin même dans le Sud d’Israël, le groupe de La France insoumise (LFI) à l'Assemblée nationale avait publié sur X un texte qui commençait ainsi: