International
ukraine

Guerre en Ukraine: Une employée russe interrompt le journal TV

capture d'écran
La courageuse s'est pointée durant le journal télévisécapture d'écran

Une employée d'une chaîne russe dit non à la guerre en plein journal TV

Marina Ovsyannikova, une employée de la télévision russe Channel One, a fait irruption sur le plateau du journal télévisé avec une pancarte «Arrêtez la guerre. Non à la guerre».
14.03.2022, 22:1810.05.2023, 18:37
Plus de «International»

La propagande du Kremlin commence à se cogner à certaines limites. Une journaliste de la chaîne publique Channel One a interrompu le journal télévisé avec une pancarte anti-guerre.

Identifiée comme étant Marina Ovsyannikova, par différents médias russes, comme le révèle The Guardian, elle tenait un carton où il était inscrit: «Non à la guerre. Ne croyez pas la propagande. Ils vous mentent ici.»

L'arrivée intempestive de l'employée a vite été barrée par un reportage. Toujours est-il que sa pancarte a été visible pendant plusieurs secondes et n'a pas manqué de mettre le feu aux poudres.

Un message enregistré avant son acte

Ovsyannikova a enregistré, au préalable, un message séparé dans lequel elle expliquait sa honte d'être une employée de Channel One. «Ce qui se passe en Ukraine est un crime et la Russie est l'agresseur», a déclaré Ovsyannikova, ajoutant que son père était Ukrainien. (svp)

La guerre en Ukraine en images
1 / 18
La guerre en Ukraine en images
Un bâtiment en flammes après un bombardement russe, Kiev.
partager sur Facebookpartager sur X
Des activistes français s'introduisent dans le «Palais de Poutine»
Video: watson
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
«Penelopegate»: François Fillon pourrait se retrouver en prison
L'affaire avait éclaté en janvier 2017 avec les révélations du Canard enchaîné, alors que François Fillon était candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle. Il se présentait comme le héraut de l'intégrité et avait été mis en examen et finalement éliminé au premier tour.

Sept ans après l'explosion du «Penelopegate», la Cour de cassation a définitivement confirmé mercredi la culpabilité de François Fillon pour les emplois fictifs de son épouse. Elle a toutefois décidé que les peines prononcées contre lui ainsi que certains dommages et intérêts devaient être réexaminés.

L’article