Yeah, nous allons pouvoir retourner à New-York!Image: Shutterstock
New York va dépenser 30 millions de dollars dans une vaste campagne de tourisme. Le but? Faire revenir les visiteurs dans la ville qui ne dort jamais, après une année de pandémie.
22.04.2021, 11:0722.04.2021, 15:51
En temps normal, le budget de promotion du tourisme à New-York s'élève à trois millions de dollars (l'équivalent en francs). Mais avec l'énorme perte touristique engendrée par la pandémie, la «grande pomme» a décidé d'investir dix fois ce budget, à hauteur de 30 millions de dollars. La campagne intitulée «NYC Reawakens» (NYC se réveille) sera lancée en juin, rapporte le Wall Street Journal:
Avant la pandémie, le taux d'occupation hebdomadaire des nuits hôtelières, à travers New York, était de 85%. En 2019, un nombre record de 66,6 millions de touristes ont visité la ville, alors que les experts estiment que 36,4 millions de touristes y reviendront cette année.
«Le tourisme représente des milliers d'emplois dans cette ville. Redresser le secteur veut dire que nous allons pouvoir faire revenir les visiteurs à New York»
Le maire de New-York, Bill de Blasio
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Un best of du street art à Brooklyn, en images
Le retour des touristes est très attendu à New-York: ces photos street art de Brooklyn vont vous donner envie d'y retourner!
source: jah / watson / jah / watson
Par ailleurs, de nombreux nouveaux restaurants et hôtels ont prévu d'ouvrir en 2021 et, selon leurs propriétaires, ils ont déjà reçu de nombreuses pré-réservations. L'office de tourisme new-yorkais prévoit un retour à la normale d'ici 2024.
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A l'image de ces deux jeunes femmes afro-américaines, le soulagement est énorme aux Etats-Unis, suite au verdict jugeant l'ex-policier Derek Chauvin coupable d'avoir tué George Floyd, en mai 2020.
source: sda / craig lassig
Les producteurs sont en train d'augmenter massivement la quantité de pétrole et de gaz extraits. Les Etats-Unis, en particulier, approuvent de plus en plus de projets dans ce sens.
Si le monde veut respecter l'objectif de 1,5 degré de réchauffement par rapport à l'ère pré-industrielle qu'il s'est fixé, il ne doit pas y avoir de nouvelles infrastructures pour le pétrole et le gaz. C'est la conclusion à laquelle est parvenue l'Agence internationale de l'énergie (AIE) en 2021. La communauté scientifique avertit que le dépassement de ce seuil, sur lequel les gouvernements se sont mis d'accord dans l'Accord de Paris sur le climat, entraînera des effets de plus en plus dramatiques, tels que des vagues de chaleur, des inondations, des sécheresses et plus encore.
