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Tes potes valaisans t'ont sûrement bassiné avec leur slogan «Valais libre». Pourquoi pas, finalement? Nous allons te prouver en cinq points que le Valais mérite son indépendance.
Les Valaisans ont déjà un empereur un président
J'ai nommé Christian Constantin 1er, démocratiquement élu avec 94% des voix. Les 6% qui restent étant répartis entre Bernard Rappaz et Oskar Freysinger. Le scrutin s'est déroulé sans irrégularité et a été validé par les observateurs internationaux.
Même pas besoin de lui trouver un trône, il en a déjà un.image: keystone
Ils sont fâchés avec les autres cantons depuis la Lex Weber
Le 11 mars 2012, séisme en Valais (et pas au Valais). La Lex Weber est acceptée par 50,6% des Suisses, mais rejetée par 75% des Valaisans. Coup dur pour ces derniers, qui n'ont toujours pas digéré le soutien de la population à cette initiative. Il n'y a qu'une solution pour réparer ça: l'indépendance.
Il n'y aura plus de neige à la montagne dans 30 ans
Alors à quoi bon garder ces cailloux où on ne peut rien faire pousser à part de la mauvaise herbe? Une fois que les Anglais ne viendront plus skier, le canton risque de devenir gravement déficitaire. Donner l'indépendance aux Valaisans, c’est les encourager à trouver des solutions pour l'avenir!
Le patrimoine génétique valaisan est homogène
On connaît les blagues sur la consanguinité supposée des Valaisans... Eh bien, figurez-vous qu'ils ont en moyenne un patrimoine génétique à 97% similaire. Quoi? Vous ne me croyez pas? J'ai pourtant lu l'info sur lesaviezvous.com...
On veut voir le FC Sion à la Coupe du monde
Lors de la saison 20-21, le FC Sion évite tout juste la relégation après une année catastrophique. C'est comme si on s'était déjà préparé à un départ définitif de l'équipe de la Super League. Et on se réjouit de voir les matchs internationaux du style Brésil - République Valaisanne.
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Alors, es-tu convaincu par ces arguments? Vas-tu militer pour l'indépendance valaisanne? Dis-le-nous en commentaire!
Est-ce que tu as aimé ce top? Lis-en un deuxième!
Ou alors, fais ce quiz!
Spécialiste de la protection des données, Sébastien Fanti entend démocratiser la pratique du sport pour décoller les jeunes des écrans, une addiction qu'il compare à un cancer. L'agent de basket réclame l'ouverture des salles de gym. «C'est une question de santé publique.»
Quand il était petit et qu'il habitait Savièse (VS), bien avant qu'il ne devienne avocat et préposé à la protection des données et la transparence en Valais, Sébastien Fanti faisait rebondir le ballon dans son village. «Mon père avait installé un panier contre une grange. Depuis ce jour, je n'ai jamais cessé de jouer au basket.» Il est devenu ailier dans le club de Sion puis agent Fédération internationale de basket (Fiba). Une reconnaissance qui lui ouvre des portes et lui permettra de mener dès 2023 le combat qui sera celui de sa «deuxième vie»: la santé des jeunes.
