Un des rassemblements les plus symboliques de cette #March4Justice («marche pour la justice», en français) a eu lieu à Canberra, près du Parlement fédéral. L'institution a été ébranlée, par des accusations d'agression sexuelle. Les manifestants ont appelé à l'application de l'égalité entre les sexes.
«Vous n'entendez pas!», «Combien de victimes connaissez-vous?», «Je la crois», pouvait-on lire sur des pancartes portées par les manifestants, pour beaucoup habillés de noir. «Il faut que les choses changent. Que les femmes ne soient pas crues me rend malade.»
#March4JusticeBega #EnoughIsEnough #March4Justice https://t.co/d0cSGrmnnm
— @March4JusticeAU (@march4justiceau) March 15, 2021
I marched for justice today alongside my inspiring colleagues @MonashGFV @MonashCrim @Monash_Arts. I marched because violence against women is a national crisis and #EnoughisEnough #March4Justice #WhyIMarch. pic.twitter.com/ObXtDwzTu5
— Dr Jasmine McGowan (@jasminelmcgowan) March 15, 2021
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— @March4JusticeAU (@march4justiceau) March 15, 2021
Today I marched because it’s 2021 and the rules of justice and democracy should be the same for all! #EnoughIsEnough #WhyIMarch #March4Justice pic.twitter.com/AKmiEHkLv9
— Betty Barkha (@BettyBarkha) March 15, 2021
Il y a d'abord eu les accusations d'une ancienne employée du gouvernement qui a affirmé avoir été violée, en 2019, par un collègue dans le bureau de l'ancienne ministre de l'industrie de défense.
Il y a ensuite eu les révélations du principal conseiller juridique du gouvernement, qui a dit qu'il était le ministre accusé d'avoir violé en 1988 une adolescente de 16 ans avec qui il étudiait. Cette dernière est décédée l'année dernière.
(ats/jch)