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La fiancée de Ronaldo raconte sa vie, attention les vélos!

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La fiancée de Ronaldo raconte sa vie, attention les vélos!

Dans Je suis Georgina, la mannequin argentine nous emmène dans le monde des nouveaux riches. Mieux: dans la maison de Cristiano, son fiancé, où elle s'est perdue en allant chercher un verre d'eau. Que d'aventures...
28.01.2022, 13:2528.01.2022, 17:42
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En préambule, l'héroïne (il faut le dire vite) de la nouvelle série Netflix nous glisse: «Beaucoup connaissent mon nom, mais très peu savent qui je suis vraiment». Oserons-nous l'avouer? Nous n'avions pas l'honneur de la connaître.

Ça tombe bien: Je suis Georgina, annonce d'entrée le titre de la série, avant de nous promettre montres et merveilles (surtout des montres). Précisons: l’œuvre ne se prétend pas littéraire, encore moins documentaire. Elle est seulement une immersion ethnique dans le monde des nouveaux riches, le cadeau d'anniversaire de Georgina (enchanté) pour ses 28 ans.

Qui est elle? Le suspense reste entier tout au long de la série; et même après. Par chance, Wikipédia nous apprend que Georgina RODRIGUEZ (il fallait le dire tout de suite) est une ex-mannequin née à Buenos Aires, plus connue grâce à sa relation avec le footballeur portugais Cristiano Ronaldo.

La suite? Attention les vélos, comme on dit dans le canton de Vaud. Georgina explique combien elle a eu du mal à passer d'un gourbis à 300 euros par mois à la propriété méga-hyper géante de Cristiano, où seuls les bikinis sont rikikis.

Pas facile d'entrer dans ce monde, et surtout, d'y trouver son chemin. Georgina raconte ses excursions dans la propriété, notamment ce jour terrible où, arrivée à la cuisine pour y puiser de l'eau, il lui a fallu une demi-heure pour retrouver le salon, sans assistance téléphonique ni repères. Que d'aventures... «Au bout de six mois, j'ai appris à trouver chaque pièce les yeux fermés», dit-elle fièrement dans la série, et à ce passage, même Mike Horn fait un peu randonneur des alpettes.

On découvre aussi qu'elle nettoie elle-même ses sacs Gucci, une marque où elle a travaillé comme vendeuse (ça c'est de la revanche sociale) et qu'elle récupère personnellement ses enfants à la sortie de l'école, toute seule, grâce à toute l'eau débusquée à la cuisine.

La série se veut totalement ouverte. On y voit des chaussures à crampons exposées sur des étagères, des voitures à ailerons exhibées sous la lumière, une piscine océanique, un dressing pharaonique, la vie...

Le garage de Ronaldo

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Le garage de Ronaldo
Bugatti Veyron
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Puisque tout le monde il est rutilant, tout le monde il est gentil, The Sun est allé regarder derrière les étagères. Il a découvert un oncle atrabilaire, l'homme qui s'est occupé de la petite quand son père a pris onze ans de tôle pour trafic de drogue et qui, mauvaise langue, accuse la vilaine (version édulcorée) de l'avoir oublié depuis qu'elle fraie avec CR7.

Georgina RODRIGUEZ est maintenant enceinte de jumeaux. Ronaldo intervient très peu dans la série mais, comme dans les seize mètres, il lui suffit d'une occasion. «C'est la femme de ma vie, la femme dont je suis éperdument amoureux», la femme idéale pour élever ses enfants, peut-on lire entre les cils qui clignotent.

Et pour finir en beauté, puisque tout ici n'est que beauté, Georgina a une jolie pensée pour Cosette et déclare avec un regard de GI: «Je sais ce que c'est de tout avoir et je sais ce que c'est de ne rien avoir». Y a -t-il un lien? Reste qu'elle ajoute: «J'ai toujours rêvé d'avoir un prince charmant. Maintenant, j'en ai un». Normalement, c'est là qu'on pleure.

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Le pire terrain de football du monde ne l'était pas vraiment
Une vidéo d'un match disputé sur une pelouse en piteux état, «la pire du monde», a récemment fait le buzz. Mais les informations relayées n'ont pas toujours été exactes. Non, ce n'était pas une rencontre de troisième division. Et le match, pour le moins particulier, n'aurait jamais dû être joué.

Le cadre est somptueux. Nous sommes à Macari, une bourgade péruvienne calme et méconnue, perdue à 3900 mètres d'altitude. Il y a un terrain de foot, comme partout au Pérou - rien de plus normal.

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