Des policiers mobilisés, face aux violences en Afrique du Sud.Image: sda
Face au désespoir économique et une crise politique, des violences ont éclaté dans plusieurs provinces d'Afrique du Sud. L'armée a été appelée en renfort.
L'armée sud-africaine va prêter main forte à la police, suite à des violences qui ont éclaté depuis vendredi, déclenchées initialement par l'incarcération de l'ex-président Jacob Zuma. Le désespoir économique a été aggravé par les restrictions imposées depuis fin juin, face à une troisième vague meurtrière de Covid.
Des soldats patrouillant les rues
Pillages et incendies se sont étendus dans le pays, notamment à Johannesburg, la plus grande ville d'Afrique du Sud. Des soldats ont été vus patrouillant les rues, mais l'armée assure que «le déploiement commencera dès que tous les processus» préparatifs seront en place.
«La durée du déploiement et le nombre de soldats mobilisés seront déterminés en fonction de l'évaluation de la situation sur le terrain par les forces de l'ordre. Le rôle des militaires sera d'assurer la sécurité et un environnement de travail sûr, pour que les forces de l'ordre puissent faire leur travail dans de meilleures conditions.»
Communiqué de l'armée
La police, largement déployée sur la plupart des sites de violences, s'est montrée souvent débordée ces derniers jours. (ats)
Manifestation historique à Cuba, en images
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Manifestation historique à Cuba, en images
Manifestation historique à Cuba, en soutien au parti communiste.
Douze ans de prison ont été requis contre les deux fondateurs du cabinet d'avocats Mossack Fonseca, accusés de blanchiment d'argent dans le scandale des Panama Papers.
Ce mercredi 17 avril à Panama, la procureure en charge de la lutte contre le crime organisé a réclamé à la cour une «peine maximale» pour blanchiment d'argent contre les deux dirigeants du cabinet d'avocat Mossack Fonseca, aujourd'hui fermé, accusés de blanchiment d'argent dans le scandale des Panama Papers.