Dans un long entretien pour le New York Times, Roger Federer fait cette confidence:
Le Bâlois apparaît de plus en plus dans les médias étrangers pour vanter les beautés de notre pays. «J'ai bientôt 40 ans, je suis allé dans 60 pays environ, expose-t-il dans le quotidien américain. Je vis et continuerai à vivre en Suisse. Je connais très bien les restaurants et les hôtels d'ici, et je sais à quel point ils souffrent. C'est le bon moment pour les aider.» Par son talent, son charisme et le nombre de soutiens qu'il compte à travers le monde (25 millions de suiveurs sur les réseaux sociaux), il est le meilleur ambassadeur de la Suisse.
Il poste régulièrement sur le Net des photos de ses balades en montagne.
«Certains des sentiers de randonnée les plus spectaculaires que j'aime se trouvent à Gstaad. Ce ne sont pas des montées et descentes brutales, mais une pente progressive, ce qui est idéal pour la randonnée.»
Federer explique dans la presse américaine apprécier également Appenzell, «un endroit très sympa et pas si célèbre», ainsi que les Grisons. «Quand j'ai été blessé en 2016, j'ai passé beaucoup de temps là-bas». Il cite encore le Tessin, ses petites vallées et ses canyons.
Au fil de l'entretien pour le New York Times, on découvre quelques habitudes méconnues du Maître:
Roger Federer aura un peu moins l'occasion de profiter de tous ces plaisirs la semaine prochaine. Il est attendu au Geneva Open pour la première fois d'une carrière qui devrait se poursuivre au moins jusqu'en décembre.