En substance, l'initiative demande d’interdire de se cacher le visage dans l’espace public, peu importe la raison, qu’elle soit religieuse ou non. Le texte prévoit des exceptions.
Cette loi a pour objectif de créer la base légale nécessaire pour que la population suisse puisse s'identifier facilement sur internet à l'aide d'une identification électronique (e-ID).
Un accord de partenariat économique a été signé avec l’Indonésie en décembre 2018. Pour la Suisse, ce texte doit faciliter l’accès à ce marché d'Asie du sud-est en pleine expansion. La population s’est prononcée car un référendum a été lancé contre cet accord.
Au bout du lac Léman, la population se choisit un conseiller d’Etat pour remplacer le démissionnaire Pierre Maudet. Qui a été condamné par la justice alors qu’il est candidat à sa propre succession.
La verte Fabienne Fischer arrive en tête du 1er tour avec 29,8% des voix. Pierre Maudet (indépendant) récolte 22,6%, Cyril Aellen (PLR) 15,5% et l’UDC Yves Nidegger 13,2%. Rendez-vous est pris le 28 mars pour le 2e tour.
Les Valaisans ont renouvelé leur Conseil d’Etat (1er tour) et le Grand Conseil. Le verdict pour l’exécutif nous apporte trois enseignements:
Au Grand Conseil:
Les Vaudois et les Fribourgeois ont renouvelé leurs autorités communales. Ce n’était parfois que le 1er tour, le 2e étant prévu le 28 mars.
Et c’est une vague verte qui a soufflé sur les deux cantons romands. Le parti écologiste fait une entrée remarquée dans plusieurs exécutifs et parlements communaux où le nombre de sièges a «explosé». Sauf à Lausanne peut-être, où il ne semble pas faire le carton attendu, du moins du côté de l’exécutif.
Le président de la section vaudoise des Verts, Alberto Mocchi, cite Morges (+8 sièges au parlement), Nyon (+11), Yverdon (+12), Renens (+8) ou encore Lausanne (+7 selon des projections).
Dans le canton de Fribourg, les Verts ont plus que doublé leur représentation au parlement de la ville (+13 sièges). Cette hausse est similaire pour Bulle, où les écologistes gagnent 3 sièges.
Des enseignements: