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Le canton de Vaud veut pousser les jeunes à se faire vacciner. Pour leur donner envie, rien de mieux que de lancer un nouveau hashtag et de leur montrer ce qu'ils vont louper s'ils décident de dire «non» à la piqûre.
06.05.2021, 12:1206.05.2021, 20:17
Depuis le 26 avril, toutes les personnes nées en 2003 ou avant peuvent se faire immuniser dans le canton de Vaud. Des rendez-vous sont disponibles et de nouvelles plages sont régulièrement ouvertes pour les prochaines semaines, informent les autorités. Il ne manque que les jeunes désireux de recevoir le précieux sérum.
Pour apater ceux qui hésitent, le canton a lancé, dès ce jeudi, une vaste campagne de communication axée autour du slogan #jemevaccine:
«Au moyen de supports publicitaires traditionnels, sur les réseaux sociaux et les sites internet des autorités, l’objectif de la campagne est de persuader le plus grand nombre de Vaudoises et de Vaudois à faire le pas et à dire oui au vaccin»
Tout cela «dans le but de maintenir le rythme actuel de la vaccination, voire de l’accélérer en prévision des vacances d’été», précisent encore les autorités.
Pour y parvenir, le canton a préparé une large série d'affiches, que les Vaudois et les Vaudoises vont voir un peu partout: en ville, sur les réseaux sociaux, dans les transports publics... Accompagnées du texte «Pour que la vie reprenne!», elles montrent plusieurs scènes et activités du «monde d'avant» que, depuis un certains temps, nous n'avons plus le droit de faire. De quoi donner envie:
Se faire un festival à l'ancienne...
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...ou une terrasse sans limite de personnes
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Même au camping
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Faire du pain avec sa (grand-) mère
(C'était interdit ça?)Image: vd.ch
Et il y a même des goodies
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Le message est clair: «Plus le nombre de Vaudoises et de Vaudois vaccinés augmentera rapidement, plus vite des assouplissements puis un retour à une vie normale pourront être envisagés».
3000 jeunes font la fête à Liverpool
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3000 jeunes font la fête à Liverpool
Un concert dans un entrepôt de Liverpool, en Angleterre, qui a débuté vendredi après-midi, fait partie d'une série d'événements pilotes parrainés par le gouvernement et suivis de près par les responsables de la santé publique.
source: ap pa / richard mccarthy
La situation est délicate en Valais en raison des nuits froides qui se poursuivent cette semaine et du risque de gel qui en découle. Tous les types de cultures sont concernés.
Lundi, Olivier Borgeat, secrétaire général de l'Interprofession des fruits et légumes du Valais (IFELV), était inquiet. Tant les cultures en plaine que sur les coteaux sont sous surveillance que ce soit les fruits, légumes et vignes.
