Suisse
Société

En 2020, 227 personnes ont perdu la vie dans un accident de la route

L'an dernier, 227 personnes ont perdu la vie dans un accident de la route

Accident route Suisse voiture rouge voiture grise victime
Image: Shutterstock
En Suisse, l’Office fédéral des routes a publié ses tristes statistiques annuelles.
18.03.2021, 13:4318.03.2021, 17:22
Plus de «Suisse»

Le nombre de victimes de la route, observée sur les dernières années, est en baisse, selon l'Office fédéral des routes (Ofrou). Quelques tristes chiffres:

En voiture

  • 71 occupants de voitures de tourisme ont perdu la vie.
  • 611 ont été grièvement blessés dans des accidents.

A vélo

  • 29 cyclistes ont perdu la vie sur les routes, surtout dans les localités.
  • Parmi les cyclistes tués, 21 ont été eux-mêmes à l’origine de l’accident.
  • Le nombre de victimes d’accidents graves parmi les conducteurs de vélos électriques a augmenté.
  • Le nombre de décès parmi les 65-84 ans a plus que doublé en un an.

A moto

  • 52 motards ont trouvé la mort sur les routes.
  • 998 motocyclistes ont été grièvement blessés.
  • L'Ofrou constate une forte augmentation des dérapages et des pertes de maîtrise par les motards.

A pied

  • 36 piétons tués, dont la moitié se trouvait sur un passage pour piétons.
  • On dénombre 408 blessés graves. (ats)
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Zara et H&M accusés d'être responsable d'une déforestation au Brésil
Des tonnes de coton certifié «durables» et provenant d'une exploitation brésilienne déjà dénoncées par des ONG ont atterri dans plusieurs usines textiles d'Asie où s'approvisionnent les deux géants de la fast fashion. Scandale.

L'ONG britannique Earthsight accuse dans un rapport H&M et Zara d'être «liés» à des activités de déforestation illégale à grande échelle au Brésil, d'accaparement de terres, de corruption et de violence dans des plantations de coton détenues par leurs sous-traitants.

L’article