International
Covid-19

Leur université les paie pour qu'ils ratent le Spring Break

SpringBreak, fête, été, plage, maillot de bain, bière
Ne pas fêter le Spring Break va rapporter des sous à certains étudiants cette année.Image: Shutterstock

Leur université les paie pour qu'ils ratent le Spring Break

Aux Etats-Unis, l'Université de Californie va verser 75 dollars à chacun des 2000 étudiants qui ont accepté de ne pas célébrer le Spring Break. L'objectif est de limiter la diffusion du virus.
11.03.2021, 16:5511.03.2021, 16:55
Plus de «International»

75 dollars pour rester à la maison une semaine. Voilà le deal que l'Université de Californie propose à ses étudiants. Mais ce n'est pas n'importe quelle semaine, c'est celle du très célèbre et très festif Spring Break, fin mars. Ceux qui promettront de rester sages (et de passer un test Covid-19 pour le prouver) recevront environ 70 francs en bons cadeaux.

«L'idée derrière c'est de les inciter à suivre les conseils de santé public», a expliqué Sheri Atkinson, vice-recteur adjoint aux affaires étudiantes, au Los Angeles Times. À l'origine, 750 étudiants auraient dû être rémunérés mais face au succès de l'initiative, ils seront finalement plus de 2000.

Pour 75 dollars, vous rateriez le Spring Break?

Comme de nombreuses autres aux Etats-Unis, l'Université de Californie cherche à limiter la diffusion du virus au cours du traditionnel Spring Break étudiant. Au Texas, l'habituelle semaine de congé a été réduite à un week-end de trois jours.

De son côté, l'Université du Mississipi a carrément annulé les sept jours de fête mais terminera, en échange, le semestre une semaine plus tôt.

Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Le nouveau chancelier allemand chancelle déjà
Friedrich Merz a été élu chancelier allemand au second tour. Une claque et une première dans l'histoire d'après-guerre de la République Fédérale d'Allemagne.

Il se croyait enfin arrivé au but... Le conservateur Friedrich Merz, qui a échoué mardi à se faire élire chancelier au premier tour par les députés, fait figure de héros tragique, mal aimé par la population et qui peine à rassembler ses rangs.

L’article