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Une dizaine de chiots sont nés en Valais pour perpétuer la race du Saint-Bernard. Et ils sont super mignons. La preuve en images👇.
17.03.2022, 09:3317.03.2022, 11:19
Dix petites boules de poils sont nées à la Fondation Barry de Martigny (VS). Les Saint-Bernard sont issus de deux portées mises au monde à quelques jours d'intervalle en ce début de mois de mars.
La chienne Rangoon, championne suisse de beauté âgée de cinq ans et demi, et le mâle Alpine Dream Dallas ont engendré une femelle. Le chiot, né le 5 mars, aura un nom commençant par la lettre K, indique cette semaine la Fondation Barry. La tradition veut, en effet, que les noms des chiens d'une même portée débutent par la même lettre, et chaque portée a une lettre initiale différente en suivant l'ordre alphabétique.
De son côté, la chienne Baltic, âgée de deux ans, a donné naissance à neuf chiots - sept mâles et deux femelles - le 8 mars. Le père, Zeus, est le fils de Rangoon. Les petits porteront des noms commençant par la lettre L.
Entraide entre les mamans
Deux de ses chiots ont été confiés à Rangoon après leur naissance. Celle-ci ne devant nourrir qu’un seul chiot, cela permet de s’assurer que toutes ces petites boules de poils reçoivent suffisamment de nourriture. Entre un et environ 18 chiots peuvent naître dans une portée, même si la moyenne est plutôt de sept ou huit, détaille encore la Fondation Barry.
Dès le 19 avril, «il devrait être possible d'admirer Baltic et ses chiots à Barryland à Martigny (VS)». En attendant, leur évolution peut être observée au quotidien sur le site internet de la fondation. Et surtout ici en images. 👇
Oh pire chou!
Ooooh, avec la maman!
Aaaaaaawwwwwwwww!
Les pa-pattes!💜💜💜
C'est l'heure de manger!
Après un bon repas, la sieste.
A propos de la Fondation Barry
En 2005, la Fondation Barry a repris des mains des chanoines le chenil des célèbres Saint-Bernard du col éponyme. Depuis lors, elle est propriétaire du plus ancien élevage au monde du chien national suisse, avec le but de perpétuer l’élevage sur le lieu d’origine des Saint-Bernard et de préserver le type particulier des chiens de l’Hospice.
(jah/ats)
Le conseiller national socialiste, Baptiste Hurni, avait demandé, en 2021, au Conseil fédéral, de faire un rapport sur les plateformes de streaming, pour éventuellement légiférer en la matière. Il nous explique en quoi le «oui» du jour à la lex Netflix le motive à reprendre cette discussion. Et comment il compte le faire.
Un oui, un grand oui pour la «Lex Netflix». Plus grand que les partisans de la loi eux-mêmes ne l'auraient espéré. La modification de la loi sur le cinéma, incluant une obligation pour les plateformes de streaming tels que Disney+ ou Netflix (d'où le surnom de la votation) de réinvestir 4% de leur chiffre d’affaires réalisé en Suisse dans des productions helvétiques et de proposer au moins 30% de contenus européens dans leur catalogue, a passé la rampe de la population à hauteur de 58% d'opinions favorables ce dimanche 15 mai.