S'il y a des gens qu'une petite escapade pour un week-end réjouit, ça n'est pas le cas de Marie-Adèle. Car avant de pouvoir se détendre, un Spritz à la main, il faut prendre un moyen de transport avec d'autres gens, comme l'avion. Car non, à son grand désespoir, elle n'a pas (encore) les moyens de privatiser un Airbus ou de louer un jet privé.
Pire encore, la dame qui râle a dû prendre un vol low cost, où l'alcool n'était pas gratuit. Elle a même dû payer un supplément pour sa valise et se battre avec son voisin pour l'accoudoir. Quelle vie, la pauvre.