Des policiers en train d'examiner une arme retrouvée sur les lieux du drame.Image: sda
Un jeune homme de 18 ans a blessé quatre personnes sur le campus de l'université de Heidelberg, dans le sud-ouest de l'Allemagne, avant de se donner la mort. L'une des victimes est morte de ses blessures.
24.01.2022, 14:4224.01.2022, 20:04
Lundi midi, jeune homme de 18 ans a ouvert le feu dans un amphithéâtre de l'université de Heidelberg, dans le sud-ouest de l'Allemagne. La fusillade a fait un mort, une jeune femme, et trois blessés.
La victime a succombé à l'hôpital quelques heures après la fusillade, le forcené lui ayant tiré une balle dans la tête.
Armes achetées à l'étranger
Le tireur était un Allemand de 18 ans, a indiqué le président de la police locale dans la soirée. Il n'avait apparemment pas de motivations politiques ou religieuses et s'est suicidé après son acte. Ses intentions restent encore à déterminer.
Quand le tireur est entré dans l'auditoire, vers 12h30, il portait un sac à dos clair dans lequel figurant plusieurs armes et de la munition. Elles ont été achetées à l'étranger, ont affirmé les forces de l'ordre.
Les autorités partent du principe qu'il s'agissait d'un auteur unique et ont donc estimé qu'il n'y avait «plus de situation de danger». (ats)
Va-t-il choisir un fou, une ennemie ou une amoureuse transie comme vice-président? Alors que le principal intéressé fait mine de se ficher éperdument de son colistier, la liste des papables s'allonge. Et ça dit beaucoup de la santé du parti républicain.
Treize semaines, c'est peu. Le 15 janvier prochain, le caucus de l'Iowa dégoupillera officiellement la sélection du candidat républicain pour la présidence américaine. Dans l'histoire, jamais un lièvre n'a pu, à ce stade du processus, bénéficier de l'avance détenue actuellement par Donald Trump dans les sondages. C'est sans doute l'une des raisons qui font naître un débat précoce et animé sur l'identité de son vice-président potentiel. Trump, lui, joue la montre et s'amuse régulièrement avec cette question, en semant autant le doute que des indices.
