International
France

France: un éboulement en Savoie paralyse la frontière italienne

Vidéo: watson

Un éboulement paralyse la frontière italienne

Un éboulement s'est produit à quelques kilomètres de la frontières italienne ce dimanche, bloquant le trafic routier et ferroviaire entre Saint-Jean de Maurienne et Modane, en Savoie. La SNCF a indiqué que les trains ne circuleraient plus entre la France et l'Italie jusqu'à mercredi.
28.08.2023, 10:5628.08.2023, 12:44

Des roches et des gravats ont bloqué la circulation ferroviaire et automobile, dimanche 27 août, en fin de journée. Un éboulement de 700 m3 n’a fait heureusement aucun blessé, mais a bloqué les accès routiers et ferroviaires. Surtout, le trafic ferroviaire est interrompu entre la France et l'Italie.

La préfecture a annoncé que le tunnel de Fréjus est fermé pour tous les véhicules de plus de 3,5 tonnes. Les poids lourds sont redirigés vers le tunnel du Mont-Blanc ou l'autoroute A8.

Les images sont impressionnantes. On aperçoit un camion et une voiture passer au moment de l'éboulement, mais heureusement sans dégât.

«Un retour à la normale nécessitera plusieurs jours»
Clément Beaune, ministre des Transports

La SNCF précise par ailleurs qu'«aucune circulation ferroviaire ne sera possible entre Saint-Jean-de-Maurienne et Modane a minima jusqu'au mercredi 30 août inclus.» (svp)

Ceci pourrait également vous intéresser:
Avez-vous quelque chose à nous dire ?
Avez-vous une remarque ou avez-vous découvert une erreur ? Vous pouvez nous transmettre votre message via le formulaire.
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Marseille face à la mafia: «Ils ne pourront pas tuer tout un peuple»
En lutte contre la mafia des narcotrafiquants, le frère du jeune assassiné le 13 novembre à Marseille, Amine Kessaci, appelle la population au sursaut. Une marche blanche est organisée samedi dans la citée phocéenne, où plusieurs avocats, militants et journalistes vivent actuellement sous protection policière
La mafia se reconnaît à ce qu’elle ne recule pas devant l’horreur. Jusqu’ici limitée aux «règlements de compte», la violence liée au narcotrafic marseillais semble avoir pris un tour résolument mafieux avec l’exécution, le 13 novembre, en plein après-midi, de plusieurs balles, de Mehdi Kessaci, 20 ans. La victime, qui préparait l’école de police, est le frère d’Amine Kessaci. Ce militant écologiste se bat contre le narcotrafic dans la cité phocéenne depuis l’assassinat d’un autre de ses frères, Brahim, en 2020, retrouvé calciné dans le coffre d’une voiture, victime d’un règlement de comptes.
L’article