Des scientifiques ont imaginé l'anatomie humaine, à l’avenir, si la société continue à maintenir sa dépendance aux technologies.
Cette nouvelle vous incitera peut-être à (enfin) lâcher un peu votre téléphone. Dans un article du Dailymail paru jeudi, un nouveau modèle développé par des chercheurs américains a permis de mettre en évidence l'impact que la dépendance aux technologies pourraient avoir sur le corps humain.
Dès l’an 3000, l'anatomie des êtres humains représentés par l'archétype fictif Mindy devrait notamment présenter:
- Un dos voûté.
- Des griffes en guise de doigts.
- un crâne plus épais.
- Et une deuxième couche de paupières.
«La façon dont nous tenons nos téléphones peut provoquer des tensions à certains points de contact, induisant une forme de griffe au doigt, connue sous le nom de "syndrome du tunnel cubital"»
Docteur Nikola Djordjevic, chercheur mandaté par TollFreeForwarding.dailymail
D'après TollFreeForwarding, la société de télécommunication ayant mandaté les scientifiques qui ont mené ces recherches, l'humain du futur devrait également disposer d'un cerveau plus petit.
«Nous avons recherché des rapports scientifiques et des avis d'experts sur le sujet, avant de travailler avec un concepteur 3D pour créer un futur humain dont le corps a physiquement été modifié par l'utilisation constante de smartphones, d'ordinateurs portables et d'autres technologies».
TollFreeForwarding, société de télécommunication
Effets «particulièrement graves» sur l'enfant
Ce rapport survient après un sondage publié récemment et qui a révélé que l'Américain typique passait près de sept heures par jours devant internet, rapporte Latest Ly. Après qu'une étude de 2018 a suggéré que le rayonnement des smartphones pouvait affecter les performances de la mémoire, des questions ont également été soulevées sur son impact sur d'autres domaines cognitifs.
Du point de vue de TollFreeForwarding, les effets démontrés par le modèle Mindy se révèlent particulièrement graves sur les enfants. «Leurs crânes moins développés étant donc plus minces, ils peuvent absorber jusqu'à trois fois plus de radiations que les cerveaux adultes», signale la société de télécommunication. (mndl)
Aujourd'hui âgé de 33 ans, il passait jusqu'à cinq heures par jour devant l'ordinateur. Comment son addiction l'a séparé du bonheur et comment il tente de la vaincre.
Son lieu de repli est habité par des fantômes. C'est ainsi qu'il appelle les femmes qui se tortillent et se soumettent à l'écran. Jamal*, 33 ans, est accro à la pornographie. Comme 3 à 6% des Suisses. Sa dépendance l'accompagne depuis 21 ans et le demeurera sans doute à vie.