Les paires qui font rugir les Internets. Image: capture d'écran
Migros a assuré un gros coup marketing grâce à des sneakers Nike qui font causer sur les réseaux sociaux.
05.10.2022, 19:4507.10.2022, 14:31
Un post sur TikTok de la Migros annonce un concours pour une paire de chaussures Nike, aux couleurs du leader helvétique de la grande distribution. Des sneakers M-Budget en édition limitée, le tout emballé dans un carton qui embrase la Toile et entraîne des centaines de commentaires enjoués.
Un concours a été lancé il y a plusieurs heures, et l'élan populaire est certain.
Migros offre des pompes Nike aux couleurs de M-Budget
Vidéo: watson
«Je serai le King»
Des commentaires laissés sous la publication TikTok sont même euphoriques: «Je travaille chez Migros et avec ces baskets je serai le King», s'amuse un utilisateur.
Un buzz qui rappelle celui de Lidl, après avoir annoncé une collection de vêtements bon marché. Les reventes et les prix se sont envolés. Migros pourrait, avec cette édition limitée, faire flamber les prix pour la revente.
Migros explique que les sneakers ont été peintes à la main par une artiste suisse. Les trois paires exclusives, qui ont pour but de «faire tout simplement plaisir à trois fans de M-Budget», ne sont pas le fruit d'une collaboration avec la marque américaine.
«Ce concours a été lancé sous l'égide de Migros, sans collaboration ou autre coopération avec Nike. Pour ce concours, M-Budget a acheté trois paires de sneakers et les a fait peindre à la main par une artiste. M-Budget ne mentionne sciemment et nulle part le nom de Nike.»
La direction de Migros
Des pompes pour régner dans les rues et les rayons. Si vous voulez pousser un peu plus le style, les chaussettes sont assorties et vous obtiendrez une réelle «street cred».
Si vous êtes tenté par le summum du style, la date butoir du concours est actée pour le 17 octobre. (svp)
L'intégrisme religieux qui a été fatal à Samuel Paty, celui qui a poussé un proviseur parisien à la démission, comme celui qui vient de coûter sa place à un instituteur zurichois, participent de cette violence qui se drape dans l'offense. Soyons-en conscients.
Des rumeurs d’enfants, des parents qui en rajoutent, une direction d’école qui flanche. Résultat: un professeur d’école primaire poussé à la démission. En Suisse, dans le canton de Zurich. Ici, pas d’accusation de blasphème, mais de corruption de mineurs, aggravée de la circonstance d’homosexualité. Le présent engrenage rappelle celui qui a coûté la vie en octobre 2020 en France à Samuel Paty, ce professeur décapité par un jeune djihadiste tchétchène. Il évoque plus près nous la démission, pour raisons de sécurité, d’un proviseur de lycée parisien, après qu’il eut, conformément à loi, demandé à une élève d’ôter son voile.