C'est «la descente la plus rapide de Verbier!» d'après Vincent Martinod, un français passionné de combinaison ailée qui s'amuse à dévaler les Alpes suisses.
Vincent Martinod publie régulièrement des vidéos de ses sauts sur Instagram. Il y a 6 ans, il commence le basejump. Aujourd’hui, il s’investi à fond dans sa passion et saute presque tous les jours.
Ce sport extrême a ouvert pour lui une porte dont il ne soupçonnait même pas l’existence: «Je ne me suis jamais senti aussi bien et aussi heureux dans ma vie». Il nous raconte ce qu'il se passe dans sa tête quand il se jette d’une falaise.👇
Des chats sur des claviers, vive le home office 😻
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Un pilote loupe son atterrissage à l'aéroport d'Heathrow
Video: watson
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Cette semaine, une recrue a été mortellement touchée par un tir à la tête. La thèse du suicide est privilégiée. Mais au fait, ces dernières années, dans quelles conditions des décès ont-ils eu lieu au sein de l'armée suisse? On est allé faire le calcul avec la Suva.
Le drame a eu lieu mardi dernier, à proximité d'une place de tir argovienne: le déchargement d'un fusil a touché un soldat de l'armée à la tête. Transportée en urgence à l'hôpital, la jeune recrue de 22 ans décède peu après. Si un accident de tir a été évoqué en premier lieu, la justice militaire a annoncé vendredi que l'hypothèse du suicide était privilégiée.