Image: Keystone
Chaque année, la fête nationale est émaillée de violences dans la ville du nord vaudois. Les autorités ont donc décidé de prendre les devants en écrivant à 2000 familles comptant des enfants âgés entre 11 et 18 ans.
31.07.2021, 10:4001.08.2021, 10:01
2000 lettres. Voilà la méthode choisie par Yverdon pour mettre en garde les adolescents contre les éventuels dérapages liés à la fête nationale. «L’idée était de dire: contrôlez ce que font vos enfants, il y a une ligne rouge à ne pas franchir entre le cadre festif et la pseudo-guérilla urbaine. D’autant que les sanctions peuvent être lourdes», explique Christian Weiler, municipal de la Sécurité publique dans le 24 Heures.
Les courriers, adressés aux familles avec des enfants de 11 à 18 ans, sensibilisaient également les jeunes aux risques représentés par les pétards, tant pour eux-mêmes que pour les voisins, les pompiers ou les policiers.
«Le 1er août, nous avons affaire à des personnes qui viennent spécialement à Yverdon pour s’en prendre à la police»
Jean-Claude Ruchet, municipal de la Jeunesse
Il faut dire que la capitale du nord vaudois n'est pas épargnée par les violences à chaque 1er août. Celles-ci semblent même être devenues une tradition depuis près de 20 ans, notamment dans le quartier de la Villette. A chaque fête nationale, pétards, fusées et «petites bombes bricolées» sont lancées en direction des forces de l'ordre, raconte le 24 Heures.
Entre janvier et fin mars, la Banque nationale suisse (BNS) a dégagé un bénéfice net de 58,8 milliards de francs, après avoir bouclé 2023 sur une perte de 3,2 milliards.
L'an dernier, l'institut avait également affiché un gain de 27 milliards au 1er trimistre, avant de glisser dans le rouge. La performance de ce début d'année a été alimentée essentiellement par les positions en monnaies étrangères, dont le résultat a atteint 52,4 milliards de francs. Le stock d'or a généré une plus-value de 8,9 milliards, tandis que les positions en francs ont accusé une perte de 2,4 milliards, énumère ce jeudi la BNS.