1.D’abord, la pâte:
Extra fine (genre limite une crêpe).
Fine, cuite au feu de bois.
Un bon centimètre bien moelleux.
Très épaisse (genre presque une foccacia).
2.Combien de sauce tomate?
Une bonne dose, pour bien coller les ingrédients dessus.
Oh, ni trop, ni trop peu.
Une toute petite couche, délicatement étalée à la main.
Rien, team pizza blanche.
3.Maintenant, les ingrédients:
Mozza, champis, jambon.
Juste un peu de mozzarella.
Un peu de tout mais surtout, de l’ananas.
Plein de choses, de l’aubergine à la roquette en passant par le poivron, les tomates cerises, le gorgonzola, le jambon de Parme, mozzarella di buffala. La dose.
4.Allez, un ou deux ingrédients bonus:
J’ai déjà mis 17 ingrédients différents mais j’en rajoute volontiers une couche.
Oh bah un nuage d’origan et une câpre, soyons fous.
Quelques olives et rondelles d’oignons.
Des moules, pour un voyage entre terre et mer.
5.Le niveau de cuisson?
Le dessous bien grillé mais la pâte doit rester molle à cœur.
Bien cuite, avec le goût du four à bois qui embaume le tout.
Tendre et croustillante à la fois.
Légèrement trop bronzée, team «j’oublie ma pizza dans le four».
6.Comment ça se mange?
Couteau-fourchette mais très vite avec les mains.
Roulée comme une crêpe.
Avec l’argenterie classique, un couteau et une fourchette.
Avec les mains, même si elle n’est pas coupée en tranches, ça va le faire.
7.À la fin, dans l’assiette, il reste:
Les croûtes et deux parts, plus faim.
Rien, j’ai léché l’assiette.
Un bout de pâte tout nu, sans même une tomate pour lui tenir chaud.
Juste les croûtes.
8.C’est le moment de débarrasser la table.
Les restes dans de l’alu au frigo, un coup d’éponge sur l’assiette et hop, c’est rangé.
Tout au lave-vaisselle et on en parle plus.
Le carton à la poubelle, quant à la vaisselle… quelqu’un finira bien par la faire.
On entasse tout à la cuisine, de toute façon personne n’utilise vraiment cette pièce.
Résultat
