La phrase d’accroche fait un peu peur: «Vos amis postent sur votre profil.» En gros, vous n’avez pas le contrôle. Ce sont vos potes qui alimentent votre compte à partir de photos prises à l’arrache, c’est-à-dire, moches. Un peu comme les vrais paparazzis quand ils photographient Kylie Jenner dans la rue.👇
The way that Quarantine has turned Kylie Jenner back into a white girl pic.twitter.com/FQjlTEY95F
— dreaming (@BeyonceLeague) April 20, 2020
Poparazzi est le nouveau réseau social qui cartonne aux Etats-Unis et qui est, ce vendredi 28 mai, l'appli la plus téléchargée sur l'Apple Store en Suisse, selon les données d'App Annie.
L’application se définit comme un «club anti-selfie», pour se démarquer d’Instagram et de son côté trop chiant parfait.
@poparazzidotcom ‘s app & website (https://t.co/EGU0K6AVS3) experience is amazing 🤯🤯🤯🤯 #poparazzi pic.twitter.com/NqJWD5T5Sg
— 𝔗𝔞𝔫𝔦𝔰𝔥 𝔄𝔯𝔬𝔯𝔞 (@tanishar0ra) May 25, 2021
A priori, non. Car contrairement à Serena van der Woodsen (la pauvre, elle prenait cher), sur Poparazzi, l’utilisateur est libre de supprimer une photo publiée ou d'en réduire la visibilité à ses seuls contacts. La photo de vous, bourré, avec des yeux de hibou, à la teuf de samedi dernier, on va éviter.
Bémol pointé du doigt par les sites spécialisés: lors de l'inscription, le numéro de téléphone est exigé, de même que l’accès à l’intégralité des contacts. Vous pouvez refuser, il faudra alors les inviter directement.