Economie
Entreprise

La déferlante de faillites s'essouffle en août

Sous perfusion pendant la pand
Une accalmie a été observée concernant les faillites d'entreprise. Keystone

La déferlante de faillites s'essouffle en août

Le climat entrepreneurial s'est un peu détendu au mois d'août. Selon les dernières données, il y a moins de dégâts concernant les faillites.
01.09.2023, 09:5101.09.2023, 12:01
Plus de «Economie»

L'explosion du nombre de faillites constatées depuis le début de l'année en Suisse a connu une accalmie au mois d'août. Les dépôts de bilan n'ont augmenté que de 5% en comparaison annuelle pour représenter 2082 radiations des registres du commerce, indique vendredi le portail internet help.ch dans un relevé vendredi.

Une compilation du cabinet Dun and Bradstreet publié mi-août mettait en exergue une progression de 16% sur les six premiers mois de l'année.

Les créations d'entreprise ont aussi quelque peu augmenté, de 8% à 3426 inscriptions.

La comparaison en glissement mensuel confirme le traditionnel accès de léthargie du mois d'août, avec un tassement de 20% du nombre de faillites et de 14% de celui des créations. (awp/ats/svp)

Caddie, le fabriquant de chariots est en faillite
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
«Risque élevé» de produits illégaux sur Temu
Une enquête de l'Union européenne pointe des jouets pour bébés» et des «petits appareils électroniques» susceptibles de ne pas respecter les normes en vente sur la plateforme. Cette dernière risque une lourde amende.
La Commission européenne a accusé lundi le site de commerce en ligne d'origine chinoise Temu de violer sa législation sur les services numériques (DSA), faute de contrôle suffisant sur les produits proposés, notamment les jouets pour bébés. Une enquête de l'UE, encore en cours, montre qu'il existe «un risque élevé pour les consommateurs de l'UE» de trouver «des produits illégaux sur la plateforme», estime la Commission.
L’article