Etre milliardaire n'est plus une rareté au Pays de l'Oncle Sam. Même deux milliards ne suffisent pas pour apparaître aux côtés des grosses fortunes américaines dans l’élite des 400 plus riches des Etats-Unis.
Comme l'écrit Forbes:
Outre ces 400 multimilliardaires, il en reste 350 (rien qu'aux Etats-Unis) qui trainent en queue de peloton.
Plusieurs personnalités font partie de ce gruppetto de milliardaires «trop pauvres» - tout est relatif. On démarque, par exemple, Oprah Winfrey (2,8 milliards de dollars) qui rate de peu le cut pour la troisième fois consécutive après avoir figuré dans la liste durant 25 années consécutives.
D'autres comme Jay-Z (2,5 milliards de dollars) et Kim Kardashian (1,7 milliard de dollars et la plus vernie de la dynastie Kardashian) n'arrivent pas à se hisser dans le club très sélect des 400 fortunes établies par Forbes. Même constat pour le designer Tom Ford (2,2 milliards de dollars) et le golfeur Tiger Woods (1 milliard de dollars) ou encore la star des Los Angeles Lakers LeBron James (1 milliard de dollars) qui ne sont pas invités à s'assoir à la table des ultrariches - ils se consoleront sûrement en empilant des liasses jusqu'au plafond de leur manoir.
Ils ne sont pas les seuls. Une autre pointure est absente du classement: Tim Cook. Le PDG d'Apple (1,8 milliard de dollars sur le compte en banque) manque à l'appel, tout comme Donald Trump (2,6 milliards de dollars) ou le fondateur de CNN, Ted Turner (2,5 milliards de dollars).
Une marche encore trop haute également pour le fondateur d'Instagram, Kevin Systrom (2 milliards de dollars). Un gros magot qu'il cultive depuis la vente de son bébé à Facebook (devenu le groupe Méta) pour 1 milliard de dollars. Il a depuis lancé une autre application (Artifact), qui s'inspire d'un algorithme semblable à TikTok pour organiser un flux d'articles pour les utilisateurs. Peut-être qu'il trouvera la force d'aller chercher un petit milliard en plus pour accrocher le top 400 de Forbes l'an prochain. (svp)