
Un tract contre le président Mohamed Abdullahi Mohamed, dit «Farmajo».Image: AP
Certaines zones de la capitale somalienne sont tombées sous le contrôle des opposants politiques au président Mohamed Abdullahi Mohamed, dit «Farmajo».
27.04.2021, 08:4430.04.2021, 16:46
Des soldats pro-opposition, lourdement armés, contrôlaient lundi certaines zones de Mogadiscio au lendemain d'affrontements avec l'armée somalienne, ranimant le spectre des combats urbains entre factions claniques rivales. Ces derniers ont ravagé la capitale dans le passé.
Dans la nuit, des hommes armés ont érigé, dans plusieurs fiefs de l'opposition, des barrages — parfois de tas de sable et de troncs d'arbres — qu'ils surveillent avec des véhicules équipés de mitrailleuses.
«Les forces armées somaliennes et les combattants pro-opposition ont chacun pris position le long de certaines routes-clés, certains transports publics circulent, mais dans certaines zones, ils ne permettent à personne de bouger.»
Abdullahi Mire, un habitant de Mogadiscio.
Dimanche, une manifestation de partisans de l'opposition contre l'extension du mandat du président Mohamed Abdullahi Mohamed, dit «Farmajo», accompagnés d'hommes armés, a été émaillée d'échanges de tirs avec les forces de sécurité somaliennes dans plusieurs quartiers. (ats)
On joue à l'opéra, les bars sont ouverts, on se marie: dans l'ouest de l'Ukraine, la vie continue malgré les sirènes d'alarme et la pénurie de carburant.
Les restaurants, les magasins et les bars sont ouverts. On y joue à l'opéra, on boit, on rit, on fait du jogging. Les gens flânent dans les rues, on peut entendre de la musique, les coursiers livrent de la nourriture et beaucoup vaquent à leurs occupations habituelles. Les transports publics sont en service, les voitures roulent sur les pavés, on klaxonne, on jure et on s'insurge.