Il n'y a pas que les gardiens de but qui devront rester sur leurs gardes durant le Mondial.Image: AP
Par peur d'évasions de prisonniers pendant la Coupe du monde, les autorités d'Ouganda ont interdit à leur personnel pénitentiaire d'utiliser leur portable durant trois semaines.
22.11.2022, 07:2822.11.2022, 11:15
Selon les autorités ougandaises, les détenus pourraient profiter de «l'enthousiasme» du début du tournoi de football pour organiser des fuites. En conséquence:
«Le personnel ne doit pas se présenter au travail avec des téléphones car ils détournent l'attention et interfèrent avec le niveau de vigilance»
Selon un communiqué du porte-parole du Commissaire général des prisons, Frank Mayanja Baine, lundi: les responsables des établissements pénitentiaires auront aussi pour tâche de renforcer la sécurité dans les zones «où les prisonniers peuvent regarder du football».
Ce ne serait pas la première fois
Il faut dire que les évasions de prison à grande échelle sont monnaie courante dans les prisons souvent surpeuplées d'Ouganda, qui compte plus de 6000 détenus dans ses établissements pénitentiaires.
En septembre 2007 par exemple, plus de 200 détenus se sont évadés d'une prison de haute sécurité dans la région de Karamoja, dans le nord-est du pays.
En 2006, ce sont plus de 500 détenus qui se sont fait la belle d'un établissement pénitentiaire d'Arua, dans la région du Nil occidental (nord-ouest).
(mbr/ats)
Les Emirats arabes unis ont connu des pluies record et des inondations majeures. La cause d'un tel déluge reste un mystère et suscite de nombreuses spéculations: Dubaï est en effet connu pour ses tentatives de manipulation de la météo.
Cela faisait longtemps que Dubaï n'avait pas connu une telle pluie. En l'espace de 24 heures, il est tombé mardi autant de précipitations que d'habitude en deux ans: 254 millimètres (contre environ 120 par an). Rapidement, les experts et autres observateurs se sont disputés sur la cause. Certains ont suggéré que les Emirats eux-mêmes y étaient pour quelque chose: ils auraient artificiellement fait pleuvoir. D'autres contestent cette hypothèse.