La compagne romande de Kendji Girac déballe tout
C'est l'affaire qui a tenu en haleine les fans du chanteur et autres curieux durant le mois d'avril: Kendji Girac, chanteur aux origines gitanes connu pour son style flamenco-pop, s'est volontairement tiré une balle dans la poitrine au petit matin du 22 avril dernier à l'aide d'un pistolet. En cause: une dispute avec sa compagne qui a dégénéré.
Une arme obtenue dans des conditions troubles, un homme dépendant, fortement alcoolisé et ayant pris de la cocaïne, et une soirée qui dégénère dans une caravane, face à une jeune enfant réveillée. Tous les éléments du drame sont présents.
Elle réfute le «chantage au suicide»
Mais pas pour la compagne du principal intéressé: Soraya a pris la parole dans Le Parisien. La Romande dénonce, la couverture médiatique de l'affaire et peint un portrait idyllique de sa vie avec le chanteur. Contrairement à ce qu'en a dit le procureur.
Tout d'abord, comment va-t-il, Kendji?
Et elle, comment va-t-elle?
Et donc, elle n'a pas trop aimé la couverture médiatique de l'affaire?
Par exemple, qu'elle était repartie en Suisse après l'accident?
Ou encore?
On rappelle toutefois que, selon le procureur, l'artiste avait déjà menacé de se tuer à plusieurs reprises, lors de disputes, y compris en «se mettant une balle».
Il a d'ailleurs indiqué aux enquêteurs:
Kendji Girac a déclaré vouloir «faire peur» à sa compagne qui comptait s'en aller et pensait que l'arme était vide.
Mais bon, elle l'assure:
Le choc des évènements est une chose. Le suivi juridique ou médiatique de l'affaire, une autre. Et Soraya Miranda semble avoir très mal digéré le choix des mots utilisés tant par le procureur que par la presse.
Elle-même en a personnellement souffert:
Mais encore?
Le procureur a d'ailleurs passablement «déballé» sur la vie du couple, précisant les aléas de celui-ci, entre séparations et retrouvailles depuis de nombreuses années.
Son vécu dans la caravane
Soraya Miranda se trouvait dans la caravane avec Kendji Girac lorsque celui-ci s'est tiré une balle dans le thorax. C'est d'ailleurs elle qui a appelé les secours.
Elle raconte:
Elle l'assure:
Dans son enquête, le procureur n'a en effet pas relevé de cas de coups ou de violence physique. Mais les altercations à grand renfort de cris avaient toutefois lieu.
Et qu'en pense Kendji?
Ah, c'est sûr, quand on se pointe un flingue contre la poitrine...
Et maintenant?
Et donc?
(acu)
