Biden sort les muscles face à l'Iran, avec pour cause la défense des droits de l'homme. Deux membres des Gardiens de la révolution, l'armée idéologique de la République islamique d'Iran, sont interdits d'entrée aux États-Unis pour leur rôle dans des interrogatoires musclés de détenus.
Hier au Conseil des droits de l'Homme, à Genève, le secrétaire d'État américain Antony Blinken a exprimé sa préoccupation au sujet des abus dont le gouvernement iranien continue de se rendre responsable à l'égard de ses concitoyens. Il a par ailleurs alerté que tous les moyens appropriés seront pris pour que les responsables d'abus et atteintes aux droits humains en Iran rendent des comptes.
Ambiance, ambiance... Sachant que l'administration Biden a promis de revenir dans l'accord de 2015 sur le nucléaire iranien dont l'ex-président Donald Trump avait retiré les États-Unis, si Téhéran respecte aussi ses engagements en la matière. (ga/afp)