Le pape François est arrivé dimanche à Trieste dans l'extrême nord-est de l'Italie pour une visite de quelques heures lors de laquelle il rencontrera des migrants et présidera une messe en plein air.
Après Venise en avril et Vérone en mai, il s'agit du troisième déplacement en Italie cette année pour le jésuite argentin de 87 ans, son dernier avant le plus long voyage international de son pontificat, aux confins de l'Asie et de l'Océanie en septembre.
Le pape est arrivé en hélicoptère peu avant 8heures à Trieste, ville de 200 000 habitants située sur la côte adriatique à la frontière avec la Slovénie et capitale de la région autonome de Frioul-Vénétie-Julienne.
Il prononcera un discours au Centre des congrès pour la clôture d'un évènement catholique, en présence des autorités locales et religieuses, dont le président de la conférence épiscopale italienne, le cardinal Matteo Zuppi.
Il rencontrera ensuite des représentants religieux et du monde universitaire, des migrants et des personnes handicapée (ats)
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Le Kremlin craint qu'une éventuelle annexion du Groenland par les Etats-Unis ne fasse perdre à la Russie son influence dans l'Arctique. Certains parlementaires proposent désormais de devancer Donald Trump et de confisquer le Groenland.
Après l'annonce du futur président américain de vouloir faire du Groenland une partie de l'Amérique, le Kremlin s'est montré profondément inquiet. Le porte-parole de Vladimir Poutine, Dmitri Peskov, a déclaré que le Kremlin suivait de très près «l'évolution dramatique de la situation» concernant les revendications de Trump sur le Canada et le Groenland. Moscou est intéressé par le maintien de la paix et de la stabilité dans l'Arctique.