L'incendie de l'usine de Ryazan, en Russie, aurait également causé près de 17 blessés.twitter
Un incendie a éclaté dans une usine de fabrication d'explosifs à environ 270km au sud-est de Moscou, a annoncé le ministère des Situations d'urgence vendredi. La recherche de victimes est toujours en cours.
22.10.2021, 10:5222.10.2021, 16:47
L'incident s'est produit, ce vendredi matin, dans l'usine Elastik spécialisée dans la fabrication d'explosifs industriels à destination civile, selon le ministère des Situations d'urgence russe.
Où se trouve l'usine?
Image: datawrapper
Alors qu'au moins sept personnes ont péri tandis que 17 autres sont blessées. Neuf personnes sont actuellement encore recherchées. Lesquelles, selon les médias russes, ont «peu de chance de survivre», rapporte le Washington Post.
Violation des normes de sécurité
Plus de 170 secouristes répartis sur 50 véhicules ont été dépêchés sur les lieux pour maîtriser l'incendie. «Rien ne menace la population» des localités voisines, a souligné le ministère.
L'incendie aurait été causé par une «violation des processus technologiques et des normes de sécurité», selon une source au sein des forces de l'ordre, citée par l'agence de presse Interfax. (ats/mndl)
Ceci pourrait également vous intéresser:
Des images ayant quelque chose de surréaliste montrent des djihadistes français paradant sous les vivats de la foule à Lattaquié, en Syrie. On découvre par ailleurs que le tueur du professeur Samuel Paty était en contact avec HTS, le groupe islamiste armé qui a renversé Bachar al-Assad. Les renseignements craignent le retour du djihadisme en Europe.
On n’est pas quelque part en France, mais dans la ville côtière de Lattaquié, le fief des Assad, en Syrie. En treillis et armés de fusils, des djihadistes français savourent le moment qu’ils sont en train de vivre. Juchés sur un camion, tels des sportifs récoltant les vivats de la foule après une finale gagnée, ils entrent en «libérateurs» dans la ville, acclamés par des habitants qui se sont manifestement détournés de leur ancienne allégeance. Dans des images obtenues par le spécialiste des mouvements djihadistes Wassim Nasr, journaliste à France 24, on les entend commenter la situation: