International
Témoignage

Les talibans ferment à nouveau les écoles, une enseignante témoigne.

Vidéo: watson

Les talibans ferment à nouveau les écoles, une enseignante témoigne

En Afghanistan, l'interdiction d'aller à l'école a été renouvelée pour les jeunes filles depuis que les talibans ont repris le pouvoir. Arifa Parsa, afghane, fait part de ses réflexions dans un message vidéo.
25.03.2022, 18:4425.03.2022, 18:46

Alors que ce mercredi 23 mars devait marquer le grand retour des jeunes Afghanes au collège et au lycée depuis la prise du pouvoir par les talibans en août, ces derniers ont brutalement changé d’avis, quelques heures seulement après cette rentrée qui avait suscité beaucoup d’espoirs.

Arifa Parsa a 23 ans, elle est universitaire et enseignante dans un gymnase de Kabul. Elle nous fait part de son incompréhension dans un message vidéo.

Vidéo: watson

De la mini-jupe à la burqa - les femmes en Afghanistan

1 / 13
De la mini-jupe à la burqa - les femmes en Afghanistan
Des étudiantes en mini-jupes se promènent à Kaboul, 1972. Elles osent le faire en dépit des violentes critiques de la majorité des Afghans, encore attachés aux traditions.
source: laurence brun /gamma-rapho via getty images
partager sur Facebookpartager sur X
La situation des femmes en Afghanistan est toujours aussi grave.
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
Avez-vous quelque chose à nous dire ?
Avez-vous une remarque ou avez-vous découvert une erreur ? Vous pouvez nous transmettre votre message via le formulaire.
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
De riches touristes auraient payé pour tuer des enfants dans des «safaris»
Un auteur italien affirme détenir des éléments accablants: lors du siège de Sarajevo, des étrangers fortunés auraient payé des sommes colossales pour tirer sur des civils. Les autorités italiennes rouvrent le dossier, plus de 30 ans après les faits présumés.
De quoi glacer le sang: en 1993 et 1994, plus de 100 chasseurs étrangers, lassés de tirer sur des cerfs, des chevreuils et des sangliers, auraient déboursé entre 80 000 et 100 000 francs pour tuer des êtres humains. C'est ce qu'indiquent les témoignages et documents rassemblés par Ezio Gavazzeni.
L’article