Un avion de la compagnie Norse Atlantic Airways affrété par l’Institut polaire norvégien, a réussi à atterrir sur la glace de l'Antarctique. Une première.
20.11.2023, 14:5820.11.2023, 14:58
La piste gelée n'a pas effrayé les pilotes de la compagnie norvégienne Norse Atlantic Airways. Ils ont réussi à poser un Boeing 787 en Antarctique pour la première fois. Un exploit. L’avion était affrété par l’Institut Polaire Norvégien et transportait 45 passagers, dont des scientifiques, et 12 tonnes de matériel de recherche.
L’atterrissage a eu lieu mercredi 15 novembre à l’aérodrome de Troll situé à quelques kilomètres de la station de recherche du même nom dans la région de la terre de la Reine-Maud.
«L’atterrissage réussi du Boeing 787 ouvre de nouvelles possibilités pour la logistique de Troll, ce qui contribuera également à renforcer la recherche norvégienne en Antarctique»
Camilla Brekke, directrice de l’Institut polaire norvégien
L’aérodrome de Troll voit entre six et dix avions se poser chaque année sur sa piste de 3000 mètres de long, pour 60 mètres de large, mais jamais un appareil aussi gros n’avait tenté de le faire explique l’Institut polaire norvégien dans son communiqué.

La photo souvenir de l'exploit.image: Norse
Le Boeing 787 en provenance d’Oslo avait d’abord fait escale au Cap en Afrique du Sud, avant de se diriger vers les côtes de l’Antarctique. Après avoir immortalisé ce moment en photo, l’équipage de Norse Atlantic Airways a ensuite fait le chemin inverse sans même avoir besoin de faire le plein de carburant à l’aérodrome de Troll. (sbo)
Pendant ce temps, en Antartique…
Voici à quoi pourrait ressembler la Suisse en 2085
1 / 10
Voici à quoi pourrait ressembler la Suisse en 2085
Elle voit un fantôme dans l'avion
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
Face au tourisme de masse, les habitants de Plaka tentent de protéger leur lieu de vie. Des restrictions concernant les logements de courte durée ont par exemple été imposées. 10 millions de visiteurs sont attendus dans la capitale grecque en 2025.
Des trottoirs envahis par les restaurants, le va-et-vient des valises à roulettes qui slaloment entre les poubelles qui débordent, la musique forte, le Grec Giorgos Zafeiriou ne reconnaît plus le cœur historique d'Athènes où affluent les touristes. Son quartier de Plaka «est menacé par le surtourisme», tonne cet homme qui y vit depuis plus de trois décennies et y préside l'association des résidents.