
Il faudra au moins un mois pour réparer un câble de communication sous-marin reliant les îles Tonga au reste du monde.Image: sda
Les choses ne s'arrangent pas pour les îles Tonga. Heureusement, un navire de réparation est actuellement en route depuis la Papouasie-Nouvelle-Guinée voisine.
19.01.2022, 05:3819.01.2022, 07:23
Il faudra au moins un mois pour réparer un câble de communication sous-marin reliant les îles Tonga au reste du monde, a indiqué mercredi le ministère néo-zélandais des Affaires étrangères. Les îles ont récemment été dévastées par une éruption et un tsunami:
«Le câblodistributeur américain SubCom indique qu'il faudra au moins quatre semaines pour que la connexion des Tonga soit rétablie»
Le peu de communication qu'il y a eu depuis a été possible grâce à quelques téléphones satellitaires, principalement détenus par les ambassades étrangères dans la capitale Nuku'alofa. Selon l'entreprise, il y aurait deux ruptures distinctes du câble, l'une située à 37 km au large et l'autre est un câble local proche du volcan, ce qui rend sa réparation difficile.
L'opérateur de téléphonie mobile Digicel a rétabli certains services domestiques 2G de base, mais a signalé que le rétablissement des communications internationales pourrait encore tarder.
L'opérateur Kacific, empêtré dans un conflit contractuel avec le gouvernement de Tonga, a été sollicité. «Nous n'avons pas encore eu de contact avec le gouvernement pour discuter de notre service», a déclaré à l'AFP Christian Patouraux, directeur général de Kacific.
L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a souligné mardi dans un communiqué que son officier de liaison à Tonga, Yutaro Setoya, assurait la communication entre les agences onusiennes et le gouvernement local. (ats/jch)
Pour Poutine, plus question de bander mou sur le territoire ukrainien. Le taux de testostérone militaire grimpe donc d'un cran avec l'arrivée du BMPT «Terminator». Agile et lourdement blindé, ce «char qui protège les chars» abrite les rêves de victoire d'une armée russe qui, avant les petites avancées dans le Donbass, étaient plutôt abonnée aux pannes à répétition. Portrait.
«Terminator» est né en 1998 et porte tous les espoirs d'une nation. Comme Kylian Mbappé. Ici s'arrêtent les comparaisons, même si Vladimir Poutine abandonnerait volontiers quelques maîtresses et deux ou trois généraux s'il avait l'assurance que son engin de 47 tonnes pouvait se montrer aussi efficace sur la ligne d'attaque que le chouchou d'Emmanuel Macron. Présenté comme la botte secrète du Kremlin, ce gros char au blindage réactif est d'abord une bestiole qui permettrait à l'armée russe de ne pas trébucher définitivement sur la résistance ukrainienne.