Le conseiller fédéral et ministre de l'économie Guy Parmelin.Image: sda
Par ailleurs, le membre du conseil fédéral a ajouté que la Suisse ne dispose pas de stockage de gaz, mais juste de réserves obligatoires.
03.05.2022, 05:0303.05.2022, 09:30
En cas de rupture des livraisons de gaz russe à cause de la guerre en Ukraine, ce serait «très difficile» pour la Suisse, a averti le ministre de l'économie Guy Parmelin.
«L'Etat ne peut en outre pas intervenir. Ce sont des organisations privées qui achètent du gaz sur le marché et le distribuent aux entreprises et aux clients en Suisse. Il n'existe pas de loi pour une régulation étatique.»
Guy Parmelin, conseiller fédéralEcotalk / srf
Si les livraisons de gaz russe devaient effectivement être interrompues, l'Office fédéral pour l'approvisionnement économique du pays (OFAE) peut minimiser les dommages, affirme l'UDC vaudois. Il existe des réserves obligatoires, explique-t-il. Il note également que la population peut être appelée à l'aide: une baisse du chauffage d'un degré correspond à une réduction de 5 à 7% de la consommation totale.
«La Suisse est totalement dépendante des importations de pétrole et de gaz. Nous voulons minimiser cette dépendance depuis longtemps, par exemple avec des énergies alternatives, mais cela prend du temps.
Guy Parmelin, ministre de l'économie
Si les livraisons de gaz russe devaient effectivement être interrompues, l'Office fédéral pour l'approvisionnement économique du pays (OFAE) peut minimiser les dommages, affirme l'UDC vaudois. Il existe des réserves obligatoires, explique-t-il. Il note également que la population peut être appelée à l'aide: une baisse du chauffage d'un degré correspond à une réduction de 5 à 7% de la consommation totale.
D'après le conseiller fédéral, ses services mettent au point depuis des semaines des plans et une hiérarchisation des priorités en cas d'urgence. «La Suisse doit voir comment elle peut s'approvisionner en sources d'énergie et où il est possible de réduire les dépendances.» (ats/jch)
Un New-Yorkais passionné de transports publics a osé comparer le nombre de navettes en partance de l'aéroport de Kansas City, à la fréquence des cars postaux d'un petit arrêt situé dans l'Oberland bernois. Si la publication fait un carton sur la plateforme X, elle révèle la frustration des Américains, l'étonnante fierté des Suisses et surtout la mauvaise foi de son auteur.
Hayden Clarkin se décrit lui-même comme «un passionné des transports, mais aussi d'Adele et de ABBA», qui est «parfois connu sous le nom de Monsieur Transports en commun». Ce jeune New-Yorkais, riche de 120 000 abonnés sur la plateforme d'Elon Musk, adore infuser son savoir dans de petites informations croustillantes, parfaites pour briller à l'heure de l'apéro. Cette semaine, sa contribution la plus populaire est plus volontiers provoc qu'informative.