Suisse
Russie

Un quart des Suisses ne veut pas sanctionner la Russie

Un quart des Suisses ne veut pas sanctionner la Russie

Protestors carry placards with "Stop Putin" as they take part in a demonstration against the Russian invasion of Ukraine on the sideline of the Financial Times Commodities Global Summit, in  ...
Près de trois Suisses sur quatre soutiennent les sanctions prises contre la Russie, à la suite de l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe.Image: sda
Dans une précédente enquête de l'institut Link, les sanctions contre la Russie n'étaient soutenues que par une courte majorité, et plus de 35% des Suisses étaient contre. Il semblerait qu'ils aient changé d'avis.
23.03.2022, 05:5523.03.2022, 12:26
Plus de «Suisse»

Près de trois Suisses sur quatre soutiennent les sanctions prises contre la Russie, à la suite de l'invasion de l'Ukraine par l'armée russe, selon un sondage diffusé mercredi par les journaux du groupe de presse Tamedia. Un quart s'y oppose encore.

Dans le détail, 61% des personnes interrogées se disent favorables à ce que la Suisse reprenne les sanctions de l'Union européenne. Quatorze pour cent sont plutôt pour cette mesure. A l'opposé, 17% sont résolument contre les sanctions, alors que 7% sont plutôt contre.

Le sondage de Tamedia a été réalisé le 12 mars dernier auprès de 12 437 personnes de tout le pays. La marge d'erreur est de plus ou moins 1,5 point. (ats/jch)

Des Suisses en Ukraine: «Je suis encore plus déterminé à rester!»
Video: watson
1 Commentaire
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
1
Black Tap déboule «enfin» à Lausanne. Au départ, il y a deux fondateurs, Joe Isidori et Chris Barish. Le premier œuvrait aux fourneaux du président milliardaire, avant d'aller chasser les étoiles Michelin. Le second a fait enfler cette enseigne new-yorkaise (et les panses) avec sa junk-food de qualité, où le dodu burger côtoie des milkshakes baroques. Immersion américano-régressive.

Tout est parti d'un traquenard. Dans lequel on est évidemment tombé comme des débutants. Avec la douce moitié, il nous fallait trouver un point de chute pour occuper et nourrir l'ado, pendant les vacances.

L’article