Alors que le skate vient d'entrer dans le club fermé des sports olympiques, la planche est encore aujourd'hui plus volontiers empoignée par les garçons dans les skateparks. Mais c'est en train de changer. La preuve, avec la Girl Session organisée à Genève ce week-end.
28.06.2021, 16:3829.06.2021, 15:35
Au skatepark de Plainpalais, à Genève, les filles ont envahi le bitume ce week-end. Alors que le skate est depuis peu devenu sport olympique, certaines filles n’osent pas mettre une basket au skatepark. Pourtant, elles adorent ça. La raison? Les garçons prennent trop de place et mettent la pression. Pour en avoir le cœur net, Alice Rizzo a enfilé deux trois protections et s'est rendue à ce qui a été baptisé «Girl Session», organisée par GVA Sk8, en collaboration avec Transforme Festival.
GIRLS SESSION à Plainpalais
Vidéo: watson
Pour les ados, être inclusifs, «c'est compliqué» dans la vraie vie
Vidéo: watson
Ce 14 juin, elles dénoncent le sexisme en politique
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
Amaigri, mal fagoté, cryptopoétique, drogué, la gueule en biais, au bord du divorce et du gouffre. Peut-être. Les «inquiétudes» autour de l’ex-poupon de la pop sont exprimées par ses groupies, analysant la moindre image ou attitude de celui qui a accompagné leur adolescence. Et si son public s’était (aussi) un peu perdu en route?
On dit parfois que personne ne connait mieux une star que sa groupie. C’est sans doute l’un des fantasmes les plus endurants du fanatisme. A force de tout lire, tout entendre, tout voir, tout gober et tout acheter d’un seul et même artiste, on finit par penser qu’on l’a fabriqué et qu’il nous appartient au moins un petit peu. Là où l’équation est un brin perverse, c’est qu’elle n’est pas tout à fait dénuée de vérité: pas de fan, pas de star.