Suisse
Société

Les hommes restent avantagés, à la maison et au travail

Le Covid défavorise les mamans et les femmes seules

Désiquilibre homme femme main
Les femmes alémaniques se sentent encore désavantagées au travail, entre autres.Image: Shutterstock
Il y a du mieux en matière d'égalité des sexes. Mais pas au travail, ni pour les tâches ménagères. Les chiffres, en un clin d'oeil.
01.03.2021, 11:5302.03.2021, 15:49
Plus de «Suisse»

Le magazine «Annabelle» a interrogé plus de 6000 femmes de plus de 16 ans, à travers la Suisse alémanique. Résultats des courses: un peu de progrès, mais encore beaucoup de chemin à parcourir.

Au travail

  • Deux femmes sur cinq estiment avoir les mêmes possibilités que les hommes.
  • 72% de femmes estiment que les hommes ont plus d'avantages.
  • Trois femmes sur cinq sont d'avis que les hommes sont traités de manière préférentielle.

Temps libre et pandémie

  • La pandémie a eu un effet positif sur le temps libre des femmes sans enfants, qui sont en couple.
  • Les mères de famille jugent l'impact de la pandémie négativement, car les enfants sont plus souvent à la maison.
  • Les femmes vivant seules souffrent du manque de contacts sociaux, dû à la pandémie.

Tâches ménagères

  • La grande partie des tâches ménagères est encore laissée à la femme.
  • Et ce, même si les deux partenaires ont un travail rémunéré.
  • Une femme sur quatre est agacée que son partenaire «ne voit pas la saleté, ni le désordre, à la maison». (ats)
Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Violence chez les jeunes en Suisse: un profil se dégage
Les condamnations pour violences aggravées atteignent un niveau record parmi les jeunes en Suisse. On observe de profondes transformations dans cette catégorie de population.
Commençons par la bonne nouvelle: la violence chez les jeunes, c'est-à-dire le nombre de condamnations pour des actes de violence légère à grave, reste stable, voire en légère baisse.
L’article