Ce n'est un secret pour personne, la guerre en Ukraine a rajouté une dose de stress supplémentaire à votre quotidien. watson vous a demandé comment vous viviez cette période si particulière. Pour ceux qui ne l'ont pas encore fait, voici le sondage:
A la question: Si j'évoque l'Ukraine, vous pensez à quoi? Vous êtes 87% à répondre: guerre et dévastation. Une première impression sans appel qui montre que la guerre actuelle a démoli toutes impressions positives que l'on pouvait avoir sur la huitième destination touristique d'Europe.
La guerre en Ukraine est incontournable dans les médias, mais est-ce que vous essayez pour autant de l'éviter ? Eh bien non, vous êtes 63% à consulter quotidiennement les articles et à vous abonner aux alertes actu. Vous avez un côté «addict». C'est peut-être une bonne nouvelle pour nous, journalistes, mais pensez à vous reposer un peu.
Ah oui, prenez soin aussi de votre santé mentale, car émotionnellement, cela vous touche beaucoup.
On reproche quelques fois aux journalistes de répandre des informations anxiogènes. Mais vous êtes 49% à considérer qu'il serait irresponsable de ne pas parler de la guerre en Ukraine et 38% d'entre vous considèrent que les journalistes ne font que leur job en vous informant.
On vous a demandé quelle était votre première source d'information. Et vous êtes 43%, oui, oui, 43% à répondre, le bon vieux journal télévisé. Les réseaux sociaux ne sont pas très loin derrière avec 33%. Comme quoi le rendez-vous du 19h30 reste incontournable.
A la question de l'impact que la guerre en Ukraine a sur votre moral, la majorité d'entre vous avoue être stressé par la situation, mais vous êtes aussi 36% à vous intéresser à la politique internationale depuis le début du conflit.
Nous sommes à près de 2000 km des premières villes ukrainiennes, mais on vous a demandé si vous pensiez que notre pays pouvait être l'une des cibles de ce conflit. Et vous êtes plutôt pessimistes, bon, à 51%, mais un peu craintifs quand même.
Ah oui, et à propos de la menace nucléaire, vous êtes 62% à penser qu'elle est plausible et que cette période instable n'a rien de rassurant.
Bon, et puis pour clore ce sondage, on vous a demandé comment vous alliez.
En gros, vous allez bien (version polie), mais un peu stressé. Alors pour vous souhaiter un bon lundi, voici un chaton. C'est cadeau.