Parfois, la pomme tombe loin du pommier. Genre très loin. Ici, le pommier c’est Tom Hanks et la pomme, c’est son fils, Chet. Vous ne le saviez peut-être pas, mais il rappe. Cette semaine, l’Américain de 30 ans a sorti le clip de sa chanson White Boy Summer. Il tente même d'en faire un slogan en copiant s'inspirant du tube de la rappeuse Megan Thee Stallion hot girl summer en 2019, qui signifiait: passer un été insouciant et qui était devenu un vrai trend.
«J'ai juste le sentiment que ça va être un été de garçon blanc», a-t-il déclaré à ses followers sur Instagram il y a quelques semaines. Pas dans un sens raciste, a-t-il précisé. Mais dans quel sens alors? Dans le sens d'un rappeur masculin blanc. «Vous voyez ce que je veux dire?» Nope. Peut-être que le clip va pouvoir éclairer notre lanterne.
Pas de doute, le fils de Forest Gump n'a pas suivi le même chemin que son père depuis la fin du film. D’après les images, «l’été d’un homme blanc» se résume à picoler, casser des bouteilles, fumer de la weed et coller sa face sur les fesses de filles en bikini. Tellement thug life. On n'a jamais vu ça, c'est aussi inédit que les épreuves dans Top Chef.
A noter également que dans la chanson, à partir de la 39e seconde, Chet prend un faux accent jamaïcain, l'une de ses spécialités. Gênance maximale.
En légende de l'une des vidéos Instagram faisant la promotion de la chanson, il a écrit : «Maman, papa, je m’excuse d’avance 🤦🏼♂️🤦🏼♂️🤦🏼♂️.»
Je crois que Tom Hanks va retourner vivre seul au monde sur son île. Avec Wilson, au moins, il n'a jamais été déçu.