shutterstock
Sondage
Travailler un jour de moins et ne rien perdre de son salaire? Ce n’est pas un rêve mais une nouvelle tendance internationale qui fait gentiment son chemin aussi en Suisse. Dites-nous ce que vous en pensez!
19.01.2022, 16:5419.01.2022, 17:36
Métro. Boulot. Dodo. Et si la journée de travail classique disparaissait à jamais ? Avec le télétravail qui se généralise, la semaine de quatre jours testée un peu partout dans le monde et les possibilités de départs à la retraite flexibles, c'est peut-être la fin du monde du travail tel qu'on le connaissait.
«Enfin» on vous entend soupirer. Même si on voit mal comment vous pourriez être «contre» cette semaine de quatre jours (c'est tout à fait possible et d'ailleurs ça nous intéresse), on aimerait avoir votre avis sur la question. Les résultats seront publiés dans un prochain article👇
Travailler moins, profiter plus
Quand je lis dans les médias que plusieurs pays testent la semaine de quatre jours:
Votre bilan professionnel:
Quand tu gères pas la pression:
C'est quoi le bonheur?
On aura enfin le temps de boire une bière en paix:
Que faire d'un jour de plus?
Seule réponse valable: rien!
L'équilibre entre la vie pro et perso, ça compte?
Moi, qui gère l'équilibre entre ma vie pro et perso👌
Plus ou moins productifs?
Nombres d'heures VS résultats:
Et pour terminer, parlons des réunions de travail...
Quand je sors du briefing le matin (c'est ironique):
20 photos qui prouvent qu'humainement, c'est un fail.
1 / 23
20 photos qui prouvent qu'humainement, c'est un fail.
Copin comme cochon: les séances
Video: watson
Et pour tout savoir de l'actu chaude en Suisse en ce moment...
Montrer tous les articles
Les salaires nominaux ont augmenté davantage que lors des quatre années précédentes en Suisse. Cependant, l'inflation a réduit le pouvoir d'achat.
Les salaires nominaux ont connu l'an dernier une progression nettement supérieure à celle de ces quatre dernières années, selon les chiffres de l'Office fédéral de la statistique (OFS). Toutefois, l'inflation est venue jouer les trouble-fêtes, et le pouvoir d'achat des Suisses a baissé. Autrement dit, on peut s'acheter moins de choses.