
shutterstock
Sondage
Travailler un jour de moins et ne rien perdre de son salaire? Ce n’est pas un rêve mais une nouvelle tendance internationale qui fait gentiment son chemin aussi en Suisse. Dites-nous ce que vous en pensez!
19.01.2022, 16:5419.01.2022, 17:36
Métro. Boulot. Dodo. Et si la journée de travail classique disparaissait à jamais ? Avec le télétravail qui se généralise, la semaine de quatre jours testée un peu partout dans le monde et les possibilités de départs à la retraite flexibles, c'est peut-être la fin du monde du travail tel qu'on le connaissait.
«Enfin» on vous entend soupirer. Même si on voit mal comment vous pourriez être «contre» cette semaine de quatre jours (c'est tout à fait possible et d'ailleurs ça nous intéresse), on aimerait avoir votre avis sur la question. Les résultats seront publiés dans un prochain article👇
Travailler moins, profiter plus
Quand je lis dans les médias que plusieurs pays testent la semaine de quatre jours:
Votre bilan professionnel:
Quand tu gères pas la pression:
C'est quoi le bonheur?
On aura enfin le temps de boire une bière en paix:
Que faire d'un jour de plus?
Seule réponse valable: rien!
L'équilibre entre la vie pro et perso, ça compte?
Moi, qui gère l'équilibre entre ma vie pro et perso👌
Plus ou moins productifs?
Nombres d'heures VS résultats:
Et pour terminer, parlons des réunions de travail...
Quand je sors du briefing le matin (c'est ironique):
Le tennisman espagnol a longtemps été considéré comme le bourreau de Roger Federer. Mais depuis que le Bâlois est absent, c'est comme si Rafael Nadal était enfin devenu pour nous l'immense champion qu'il a toujours été pour les autres.
Humble, travailleur, bilingue, poli et ponctuel en conférence de presse, Rafael Nadal a toutes les qualités dont on dit les Suisses généralement dotés. Il n'a pourtant pas toujours été apprécié dans notre pays. D'abord, parce qu'il a privé Roger Federer de nombreux titres, le battant à 24 reprises dans de grands tournois; ensuite parce qu'on a longtemps préféré le style aérien de Roger Federer au jeu tout en puissance de son rival aux biceps noueux.