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L'autorité de surveillance des données personnelles française veut faire la lumière sur la façon dont l'application américaine en plein boom récolte les données de ses usagers.
17.03.2021, 13:4517.03.2021, 15:32
Le gendarme français des données personnelles – la Cnil de son petit nom – a l'application Clubhouse dans son viseur. Elle a ouvert, mercredi, une enquête sur la manière dont le réseau social utilise les informations privées de ses usagers.
Clubhouse, une application américaine, est un réseau social audio, qui permet à ses utilisateurs de se regrouper dans un salon virtuel pour avoir une conversation. Avec les mesures de confinement adoptées dans le monde entier, son usage a été dopé.
«S’il était confirmé que l’application éditée par cette société ne respecte pas la législation européenne sur la protection des données, la CNIL pourra, le cas échéant, faire usage de ses propres pouvoirs répressifs.»
La Cnil
L'application fait l'objet de questions sur l'utilisation des données privées de ses utilisateurs, ou sur sa sécurité technique. En France, par ailleurs, «une pétition rassemblant à ce jour plus de 10 000 signatures circule pour alerter la Cnil sur de possibles atteintes à la vie privée par l'application Clubhouse», a indiqué l'autorité française. (ats)
L'attentat de Moscou commis par l'Etat islamique rappelle les années 2000, lorsque Poutine s'était érigé face au terrorisme tchétchène et islamiste. Mais le maître du Kremlin s'obstine à pointer l'Ukraine du doigt. Au cœur de sa logique: l'évolution de la relation complexe entre Moscou et la Tchétchénie.
Septembre 1999, Vladimir Poutine n'est alors que premier ministre de la Fédération de Russie. Une vague d'attentats tchétchènes vient de frapper le territoire russe et le futur maître du Kremlin ne mâche pas ses mots. Les jours précédant cette conférence de presse, des explosions de voitures piégées au pied de bâtiments locatifs ont fait des centaines de morts en Russie.