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«Dungeons of Dreadrock» est un amour de jeu vidéo

«Dungeons of Dreadrock» est disponible sur Nintendo Switch, Android, iOS et PC. Interdit aux moins de 12 ans.
«Dungeons of Dreadrock» est disponible sur Nintendo Switch, Android, iOS et PC. Interdit aux moins de 12 ans.zvg
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On a testé «Dungeons of Dreadrock» et c'est un amour de jeu vidéo

Centré sur les efforts d’une jeune fille qui doit sauver son frère, le jeu fera le bonheur des amateurs old school de pixel art. Pour vous, watson s'est frayé un chemin à travers les 100 niveaux du jeu. Aperçu👇
21.05.2022, 11:49
Simon Dick
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La sœur et le frère sont assis paisiblement autour d'un feu de camp devant l'entrée d'un donjon de plusieurs étages. Mais ce moment de convivialité se transforme rapidement en opération de sauvetage. Des forces obscures entraînent le frère dans les profondeurs de cette puissante construction.

Le but du jeu: trouver la sortie

Pour l'instant, la sœur ne se soucie pas de savoir exactement pourquoi et quels antagonistes sont à l'œuvre. Car avec tout son courage, elle se précipite pour aider et s'enfonce toujours plus profondément dans le donjon.

C'est ainsi que notre courageuse héroïne se bat, se débrouille et s'agite à travers 100 courts niveaux qui fonctionnent tous selon le même principe de jeu: trouver la sortie, c'est-à-dire ouvrir la porte fermée pour pouvoir continuer le voyage à l'étage inférieur. Et cela va, de la simple recherche de clés aux énigmes casse-têtes où il faut parfois penser à plusieurs choses.

Si vous vous retrouvez dans une impasse, vous pouvez à tout moment cliquer sur le bouton d'aide, où vous attend la solution de l'énigme. D'une manière ou d'une autre, «Dungeons of Dreadrock» est toujours juste envers vous, même si le niveau de difficulté augmente gentiment d'un niveau à l'autre.

Avant d'aller toujours plus loin, il faut d'abord se procurer une bonne épée pour pouvoir combattre les ogres.
Avant d'aller toujours plus loin, il faut d'abord se procurer une bonne épée pour pouvoir combattre les ogres.zvg

Les puristes vont sourire

En descendant, vous serez gâté par des graphismes en pixels qui feront sourire les puristes. Des guerriers squelettes animés avec amour, des zombies qui se traînent et bien d'autres monstres adorables font le bonheur des yeux.

Mais l'environnement, avec ses magnifiques effets de lumière, révèle également de nombreux détails qui ne sont visibles qu'au deuxième coup d'œil. Les valeurs visuelles et le principe du jeu vont ici harmonieusement de pair et suscitent toujours la curiosité pour le prochain niveau qui nous attend.

L'attraction est parfaite et fait en sorte que l'idée initiale de ne jouer qu'à un seul niveau se transforme soudain en heures qui s'envolent.

La manière dont nous arrivons à la fin du niveau n'est pas si simple.
La manière dont nous arrivons à la fin du niveau n'est pas si simple.zvg

Des informations au fur et à mesure

Plus on descend, plus il y a des parchemins et d'autres notes à découvrir, qui nous fournissent des informations de fond sur l'histoire et nous éclairent. Nous en apprenons également plus lors de diverses séquences de rêves et de visions.

Mais toujours juste ce qu'il faut pour alimenter notre motivation à descendre toujours plus bas. Ici aussi, on sent à nouveau cette habile montée en puissance du suspense, qui nous entraîne toujours plus loin dans le mini-drame.

100 niveaux qui fonctionnent toujours selon le même principe de jeu possèdent le risque que le jeu s'essouffle et que la répétition s'insinue.

Laisse-toi surprendre

Là aussi, après les premières heures de jeu, on se rend compte que le créateur Christoph Minnameier a habilement éliminé ce danger en créant sans cesse des surprises au niveau de la mécanique de jeu. Il jette parfois courageusement par-dessus bord l'architecture des niveaux pour enchanter les joueurs.

Nous ne voulons bien sûr pas révéler ici les astuces auxquelles on a recours, mais elles assurent le hochement de tête honorifique nécessaire devant l'écran en direction des créateurs de jeux.

Des petites séquences intermédiaires amusantes fournissent les informations nécessaires sur l'histoire.
Des petites séquences intermédiaires amusantes fournissent les informations nécessaires sur l'histoire.zvg

Jouer, tout simplement !

Conclusion: ce que Christoph Minnameier a réussi à faire ici est un tour de force. Si, après le générique de fin, le sourire agréable sur le visage ne veut plus disparaître et que l'on réclame directement une suite, c'est que tout a été fait correctement.

L'aspect pixelisé de ce jeu s'associe à un principe de jeu simple, mais toujours exigeant, qui crée une forte attraction à laquelle on s'abandonne complètement pendant environ quatre à six heures.

Voici à quoi ça ressemble👇

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