Depuis plus d'un mois maintenant, les deux stars se livrent un combat sans merci dans le cadre de leur divorce. Si de nombreuses rumeurs entourent cette séparation, il semblerait que le plus gros différend concerne la garde de leurs deux filles âgée d'un et trois ans. Récit d'un épineux dossier people.
Dans les semaines qui ont suivi l'annonce de la séparation de Joe Jonas et Sophie Turner, les médias se sont déchaînés donnant lieu à un flot continu d'informations peu flatteuses à leur encontre. Des «sources anonymes» ont accusé Sophie Turner de «trop faire la fête» et de confier à leur père toutes les responsabilités parentales. On raconte même que l'actrice britannique se serait adonnée à des pratiques peu conventionnelles et aurait été filmée par la caméra de surveillance du domicile.
Joe Jonas n'a pas été épargné non plus. Accusé de sexisme ou encore de «mom-shaming» (réd: critiquer les choix d'une mère concernant l'éducation de ses enfants), le chanteur a également dû faire face à son lot de critiques.
Pour rappel, le 21 septembre, Sophie Turner a porté plainte contre son désormais ex-mari dans le but d'obtenir la garde de leurs enfants, l'accusant d'avoir «enlevé» Willa et Delphine, leurs deux filles. Lui a contre-attaqué en l'accusant de vouloir déplacer la procédure de divorce au Royaume-Uni afin d'être à son avantage. Pour mettre fin à cette confusion, la justice s'est positionnée: un procès concernant la garde des enfants commencera en janvier, à Manhattan, mais jusque-là, les enfants n'iront nulle part et resteront à New York au grand dam de leur mère, qui s'est d'ailleurs récemment installée dans l'appartement new-yorkais de miss Taylor Swift.
Mais alors que le dialogue semblait totalement rompu entre les jeunes parents, ils seraient enfin parvenus à un accord à l'amiable concernant la garde de leurs deux filles jusqu'au début du procès. Elles passeront deux semaines avec chaque parent afin qu'elles puissent passer les fêtes de fin d'années avec l'un et l'autre.
Reste à savoir si chacun saura s'y tenir. Le couple a jusqu'au 23 décembre pour faire le point sur ses négociations avant d'entamer le procès qui sera sans doute explosif. (sia)