Oubliez les braquages spectaculaires avec Brad Pitt, George Clooney et compagnie. En 2022, les voleurs ont développé une nouvelle technique dont jalouseraient les Ocean's Eleven. Ça consiste en la fraude à la caisse rapide dans les supermarchés. En gros, ils arrivent avec leurs caddies remplis, scannent 2-3 produits de préférence pas trop chers, paient une addition dérisoire et partent tranquillement ranger le tout dans leur voiture.
Au risque de décevoir les fraudeurs en herbe: cette méthode n'est pas infaillible. Une spécialiste en la matière s'est faite attraper la main dans le sac, et vient d'être jugée coupable de «vol par métier». Après il faut dire qu'elle n'était pas forcément discrète. Elle a volé à dix reprises en moins de deux mois. Et la dernière fois en battant des records: elle a scanné pour 34 fr. de courses qui valaient en fait... 1700 francs.
On vous avait parlé d'un projet pilote de vente de cannabis dans les pharmacies bâloises il y a quelques semaines dans le récap en mèmes. Vous vous êtes peut-être dit: «sympa, mais Bâle c'est loin je ne vais jamais y mettre les pieds donc ça ne change rien à ma vie.» Si c'est le cas, cette info risque de vous intéresser...
Finito la weed bourbine, c'est au tour de Lausanne de lancer son projet pilote de vente, baptisé Cann-L, sur une durée de quatre ans. Testé dès fin 2022, le projet aura pour but d'étudier les effets de la vente à but non lucratif de cannabis sur la santé, sur la consommation et en termes de sécurité. De quoi ravir les fumeurs de joints lausannois, dont on estime qu'ils sont 1500 à s'en allumer un tous les jours. Êtes-vous favorable à un tel projet? Pensez-vous que la Suisse va légaliser le cannabis? Dites-le-nous en commentaire!
Alors que l'Europe fête la fin de la Deuxième Guerre mondiale le 8 mai, les Russes le font le lendemain pour des questions de décalage horaire lors de la signature des traités mettant fin au conflit. Chaque année, c'est pour Poutine l'occasion de mettre en scène la puissance de l'armée russe, et pour la population de participer à la «marche des Immortels» en brandissant le portrait de leurs ancêtres tombés sur le champ de bataille. Evidemment, ces célébrations ont pris une tournure particulière dans le contexte de la guerre en Ukraine, déclenchée par le dictateur russe le 24 février dernier.
Il avait alors affirmé qu'une «opération militaire spéciale» avait pour but de «dénazifier» le voisin ukrainien. Déjà, l'argument est bancal puisque, même s'il est inutile de le rappeler, l'Ukraine n'est pas un Etat nazi. Mais aussi, il est quand même paradoxal de parler de dénazification lorsqu'on emploie des techniques qui auraient presque fait pâlir Hitler lui-même. A l'occasion de ce 9 mai, Poutine a donc soigné la propagande en répétant l'argumentaire délirant et en promettant que, comme en 45, la victoire sera celle de la Russie. On espère que l'histoire lui donnera tort.
Il y a deux semaines, Elon Musk, homme le plus riche du monde, rachetait Twitter pour la somme astronomique de 55 milliards de dollars. Il avait alors prétendu agir en faveur de la liberté d'expression, lui qui s'oppose depuis longtemps aux mesures de modération de l'entreprise. Depuis lors, la gauche américaine craint que ce rachat ouvre la porte à un retour de Donald Trump sur le réseau, banni depuis l'invasion du Capitole américain en janvier 2020. Cela avait amené l'ancien président américain, après avoir râlé un bon coup, à lancer son propre réseau social, Truth Social, qui a fait un flop complet.
Depuis, on en entend plus trop parler de l'autre côté de l'Atlantique. Mais ça pourrait bientôt changer! Figurez-vous que le milliardaire (Elon pas Donald) a annoncé qu'il souhaitait rendre à Trump son compte Twitter suivi par plus de 88 millions de followers. Celui qui est également patron de Tesla et de Space X trouve que la décision de bannissement était «moralement mauvaise». On pourrait donc bientôt retrouver les vitupérations quotidiennes de Trump sur son réseau social favori. C'est bon pour donner des sujets d'articles aux journalistes, mais mauvais pour une grande partie de l'Amérique...
Etape numéro une: sortez des vieilles chaussures démontées de votre placard. Etape numéro deux: détruisez-les encore plus. Etape numéro trois: donnez-leur un nom de capitale européenne. Etape numéro quatre: vendez votre paire à un prix démesuré, et faites-vous un max de fric. En gros, voilà le processus suivi par Balenciaga qui a récemment sorti sa dernière paire de chaussures nommée «Paris».
Très usées, ces baskets sont censées rappeler celles destinées à l'athlétisme au milieu du 20e siècle. Nous, on a plutôt l'impression qu'ils ont frotté une paire de Converse dans les recoins les plus sales de Paris, en insistant bien du côté des égouts. Affichées au prix de 1850 dollars, Balenciaga a finalement annoncé qu'elles n'étaient pas à vendre et qu'elles ne servaient qu'à faire la promotion d'autres produits.
Puisqu'une image vaut mieux que mille mots, on vous laisse en juger par vous-même et nous dire en commentaire ce que vous en pensez.