Tout a (re)commencé il y a quelques mois, lorsque Barack Obama s’est affiché à plusieurs reprises en solo, lors de grands rendez-vous politiques. Des funérailles de Jimmy Carter à l’investiture de Donald Trump, l’ancien président démocrate avait fait chuchoter les mauvaises langues, voyant que Michelle manquait bruyamment à l’appel, sans explication.
Sans oublier les rumeurs selon lesquelles Barack entretiendrait une relation aussi intime que secrète avec l’actrice Jennifer Aniston. En gros, tout cela était bien suffisant pour que le futur divorce des Obama devienne une chose entendue. Et c’est le drame: ce couple, que rien ne semble venir ébranler, serait sur le point de trébucher.
Ils ont eu beau poster des images tout amoureux sur les réseaux sociaux, rien n’y fera. Mais peut-être que les derniers rebondissements auront de quoi faire taire les rumeurs. Mercredi, dans le podcast «Work in Progress» avec l'actrice Sophia Bush, Michelle Obama a évoqué ses récentes absences publiques, sa vie de femme indépendante et son avenir. Et, une chose est sûre, l’ex-première dame a envie de s’émanciper pour de bon:
Quelles décisions? Mystère. Mais on comprend qu’elle a enfin pu contrôler totalement son propre agenda et faire «un choix pour moi-même». Michelle Obama a bien compris que ses absences ont été remarquées: «Vous savez, je trouve encore le temps de faire des discours, d'être présent sur la scène internationale et de travailler sur des projets. La bibliothèque (The Barack Obama Presidential Library) ouvrira ses portes dans un an. Il y a des choses que je fais ou non, c’est ainsi».
MAJOR BREAKING: For the first time, Michelle Obama just SMASHED the right-wing lies that she and Barack Obama are getting a divorce.
— CALL TO ACTIVISM (@CalltoActivism) April 9, 2025
Michelle didn’t hold back. Listen below: pic.twitter.com/KkNflagxf0
La première dame a ensuite osé évoquer frontalement les rumeurs de divorce qui entoure son couple depuis plusieurs mois. Et ça ne lui plait pas du tout.
Michelle et Barack Obama sont ensemble depuis 32 ans. Et une grande partie de cette période a été dirigée par l’agenda d’un président des Etats-Unis. L’ancienne première dame a donc rappelé à quel point cela pouvait être machiste d’imaginer qu’elle fait, parfois, quelque chose sans son mari dans les pattes. Voilà qui est plutôt bien envoyé.