Six otages israéliens ont été libérés samedi à Rafah dans le cadre d’un échange entre Israël et le Hamas. Pris en charge par le Comité international de la Croix-Rouge, ils ont été remis à l’armée israélienne après leur sortie de la bande de Gaza.
22.02.2025, 11:3322.02.2025, 14:57
Des combattants du Hamas sont déployés à Rafah avant la libération prévue de deux des six otages israéliens devant être remis à la Croix-Rouge, dans la bande de Gaza, le samedi 22 février 2025.Keystone
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a récupéré samedi le sixième et dernier otage devant être libéré dans la bande Gaza, dans le cadre d'un accord entre Israël et le Hamas, selon un communiqué de l'armée israélienne. Il l'a remis à l'armée israélienne.
L'otage libéré est Hicham al-Sayed, un Bédouin israélien de 37 ans captif à Gaza depuis près de dix ans. Sa libération a été confirmée par l'armée israélienne et le Shin Bet (renseignement intérieur israélien).
L'otage libéré est Hicham al-Sayed, un Bédouin israélien de 37 ans captif à Gaza depuis près de dix ans. Sa libération a été confirmée par l'armée israélienne et le Shin Bet (renseignement intérieur israélien).
Au total, le mouvement palestinien a libéré samedi six otages israéliens à Gaza dans le cadre de la trêve en vigueur depuis le 19 janvier. Selon le Club des prisonniers palestiniens, 602 détenus palestiniens seront libérés en contrepartie samedi, dont 108 doivent être expulsés des territoires palestiniens.(dal/ats)
Les gosses russes aiment les flingues (à blanc)
1 / 9
Les gosses russes aiment les flingues (à blanc)
Il y a l'enthousiaste...
source: ap / dmitri lovetsky
- La libération d'Arbel Yehud à Gaza
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
Le renseignement intérieur allemand a classé l'AfD, deuxième aux dernières législatives, comme un mouvement «extrémiste de droite», pour surveillance renforcée.
Le renseignement intérieur allemand a classé vendredi l'ensemble du parti Alternative pour l'Allemagne (AfD), arrivé deuxième aux dernières élections législatives, comme un mouvement «extrémiste de droite avéré», ce qui doit permettre un placement sous surveillance intensive.
