International
Hollywood

Un acteur de Hollywood accusé d'une arnaque à 690 millions de dollars

Un acteur de Hollywood accusé d'une arnaque à 690 millions de dollars

argent billets
L'acteur risque jusqu’à 20 ans de prison.Image: Shutterstock
Un acteur de Hollywood accusé d'avoir élaboré un montage financier frauduleux de 690 millions de dollars a été arrêté à Los Angeles et ses avoirs ont été saisis.
07.04.2021, 05:1607.04.2021, 14:24
Plus de «International»

Zachary Horwitz, 34 ans, au nom de scène de Zach Avery, est soupçonné d'avoir sollicité des investissements dans sa compagnie frauduleuse pendant cinq ans. Il prétendait acheter les droits régionaux de distribution de films et de les licencier ensuite aux grands diffuseurs comme Netflix ou HBO pour une distribution en Amérique latine.

Mais au lieu de cela, il avait organisé sa société, baptisée 1inMM Capital. Un montage frauduleux, en système de pyramide de Ponzi, où il utilisait l'argent des uns pour payer les autres.

20 ans de prison

Une arnaque qui lui a permis de financer son faste train de vie, dont l'achat d'une résidence à Beverlywood pour six millions de dollars. Zachary Horwitz promettait un retour sur investissement de 35% aux participants de son système.

L'acteur, qui est apparu récemment dans des thrillers ou films d'horreur comme Au-delà des apparences, est accusé de fraude et risque 20 ans de prison. (ats)

Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Syrie: un défi arabe et musulman
Le tyran Bachar al-Assad est tombé, renversé par une rébellion islamiste. Il reste à installer une gouvernance. On n'est plus dans l'illusion des Printemps arabes. L'Occident, spectateur inquiet.

L’effondrement, en quelques jours, du régime de Bachar al-Assad, dit combien la dictature syrienne, fragilisée par les pertes du Hezbollah au Liban et finalement lâchée par Moscou, était à bout de souffle. Issu de la minorité alaouite, le «boucher de Damas», responsable de centaines de milliers de mort durant les treize dernières années de guerre civile en Syrie, ne se maintenait au pouvoir qu’en terrorisant sa population, majoritairement sunnite, 75% du total.

L’article