Trois multinationales, tristement en tête du classement, génèrent 16% des déchets plastiques. Spoiler: deux d'entre elles sont américaines.
Le virage écologique concerne toute la planète mais certains mauvais élèves se paient visiblement une part de lion en termes de pollution plastique. Et le mot est faible: 20 entreprises seulement sont responsables de la production de plus de la moitié de tous les déchets plastiques à usage unique sur la planète.
16,7 tonnes de déchets plastiques sur le podium
Trois multinationales, qui génèrent ensemble 16% des déchets mondiaux, se place en tête de ce classement:
- Exxon Mobil (pétrole et gaz / USA)
5,9 millions de tonnes de déchets
- Dow Chemicals (produits chimiques / USA)
5,5 millions de tonnes de déchets
- Sinopec (pétrole et produits chimiques / Chine)
5,3 millions de tonnes de déchets
Trop peu de recyclage👇
La plupart de ces entreprises sont basées en Asie, en Europe, en Amérique du Nord, en Amérique latine et au Moyen-Orient, précise le rapport publié mardi par la fondation Minderoo. Le rapport révèle aussi que 100 entreprises sont à l'origine de 90 % de la production mondiale de déchets plastiques et que seulement 10 à 15% des plastiques à usage unique sont recyclés. (fv)
En Suisse, c'est... différent👇
Saurez-vous reconnaître ces déchets?
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Saurez-vous reconnaître ces déchets?
Quel est ce déchet? Réponse sur le slide suivant.
source: summit foundation / claude bernhard
Que va-t-il se passer à Gaza à présent que la trêve est rompue? Spécialiste du Moyen-Orient, chercheur associé à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS), David Rigoulet-Roze tente de répondre à cette question.
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David Rigoulet-Roze: Israël, qui a repris ses opérations de guerre ce vendredi, accuse le Hamas de tirs de roquettes. Cela semble avéré. La trêve était de toute manière déjà fragilisée. Les deux parties étaient conscientes qu’elle allait devenir caduque. L’attentat, revendiqué ostensiblement par le Hamas, qui a fait trois morts jeudi à un arrêt de bus à Jérusalem, manifestait le fait que l'on se dirigeait vers une reprise des hostilités à plus ou moins brève échéance.