International
Sport

Pierre Menès accusé (en plus) d'avoir proféré des insultes racistes

Image

Pierre Menès accusé (en plus) d'avoir proféré des insultes racistes

Le journaliste sportif, décrié depuis plusieurs jours à cause de son comportement envers les femmes, vient d'être à nouveau mis en cause par une actrice française.
05.04.2021, 12:4505.04.2021, 16:58
Plus de «International»

L'actrice Alice Belaïdi, connue notamment pour avoir joué dans plusieurs séries Canal+ (WorkingGirls, Hippocrate) en plus de ses nombreux films, a rejoint, ce lundi, les femmes qui dénoncent le comportement déplacé du journaliste sportif Pierre Ménès.

Invitée sur le plateau d'Europe1, elle a affirmé avoir été traitée de «sale bougnoule» et de «salope» par l'individu. Elle a également exprimé son soulagement envers la libération de la parole, conséquence directe du mouvement #metoo.

«Heureusement que la parole est enfin libérée pour nous les femmes et que ces mecs-là tombent. Ça suffit. #MeToo, ça ne peut que nous toucher, hommes et femmes. Beaucoup de mes potes hommes sont contents que ça sorte aussi parce qu’ils en ont marre d’être associés à ces mecs-là.»
Alice Belaïdi

Il y a deux semaines, Pierre Ménès avait été mis en cause après la diffusion du documentaire Je ne suis pas une salope, je suis une journaliste, dans les scènes coupées duquel il assume ses dérapages verbaux. Il avait ensuite présenté ses excuses dans Touche pas à mon poste, puis sur Twitter, avant d'être suspendu par son employeur, Canal+. (ade)

Ceci pourrait également vous intéresser:
0 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
Elle a complètement craqué après la qualif de la Nati
Smilla Vallotto, milieu de terrain de l'équipe de Suisse, s'est lâchée devant la caméra de la RTS, jeudi après le nul contre la Finlande (1-1). Une scène mythique.
Il y a eu des émotions jeudi soir au Stade de Genève. Beaucoup d'émotions, même. Et l'équipe de Suisse est passée par toute la palette. Il y a d'abord eu la joie et la fierté d'entrer sur cette pelouse genevoise et de voir des tribunes pleines (26 388 spectateurs). Et puis la consternation à la 79e minute, quand la Finlande a ouvert le score sur penalty. Un but qui qualifiait virtuellement les Nordiques, au détriment des Helvètes.
L’article