International
Syrie

Plusieurs pays appellent à la «désescalade» en Syrie

Plusieurs pays appellent à la «désescalade» en Syrie

La France, l'Allemagne ou les Etats-Unis ont appelé à la «désescalade» en Syrie, où des groupes rebelles ont infligé un coup dur au régime de Bachar al-Assad.
02.12.2024, 06:3902.12.2024, 06:55
Plus de «International»

Les Etats-Unis, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont appelé dimanche dans un communiqué conjoint à la «désescalade» en Syrie, où des groupes rebelles ont infligé un coup dur au régime de Bachar al-Assad, en prenant le contrôle de plusieurs territoires ces derniers jours.

Ils déclarent dans leur communiqué:

«Nous appelons toutes les parties à la désescalade et à la protection des civils et des infrastructures afin d'éviter de nouveaux déplacements et la perturbation de l'acheminement de l'aide humanitaire.»

Et d'ajouter que l'«escalade» du conflit soulignait «la nécessité urgente» d'une «solution politique». (ag/ats)

Retour en images sur la course à la Maison-Blanche:
1 / 26
Retour en images sur la course à la Maison-Blanche:
source: sda / cristobal herrera-ulashkevich
partager sur Facebookpartager sur X
Des célèbres tableaux prennent vie grâce à l'IA
Video: watson
Ceci pourrait également vous intéresser:
2 Commentaires
Comme nous voulons continuer à modérer personnellement les débats de commentaires, nous sommes obligés de fermer la fonction de commentaire 72 heures après la publication d’un article. Merci de votre compréhension!
2
Négociations entre Kiev et Moscou: «C'est malin de la part de Zelensky»
Des délégations russes et ukrainiennes se réuniront cette semaine à Istanbul pour discuter d’un éventuel processus de paix. Mais le chemin est encore long. A quoi faut-il s'attendre?
L’événement est présenté comme une première, mais les attentes face à cette rencontre restent mesurées. Selon Moscou, Russes et Ukrainiens s’apprêtent à discuter, pour la première fois, de leurs visions respectives quant à la fin du conflit. Lors de cette troisième rencontre de l’année à Istanbul, les deux parties doivent mettre sur la table leurs mémorandums, ceci en vue d’un accord de paix, a indiqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov.
L’article